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(D'après le Journal de La Vérendrye)

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avaient Trouvé en 2bondance

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s(Zizanis aquaïirat-

pousse sur le bond des lacs et dans de six les marais zu Angis précux dans l'alimentation des

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abandon es.

culture. Il n'y a qu'à la moisson- fourrures: il

ser ce travail trés simple ne re- quiert pas d'outillage compliqué. l'épi est pour. au début de

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champs de roseaux, prce-

contre la paroi int jeure de naccile en faire tomber Île Séché à it feu sur un gril de bois et trituré sous les pieds nus Fruvças r le débarrasser de sa paille, le prometions de me riz sauvage est alors prêt pour la point aicr ailleurs. | cuisson. Il.possède toutes bes qua-

La Vérendrye lcur ft un petitilités mutritives du riz ordinaire et e la mêémé facon.

Les Français trouvèrent ce mets délicieux et pourrissant. Ils en ti- rérent un excellent, parti, si bien que leur provision de mais qu'ils

JE t apportée ne fut pas enta- Jong récitde son voyage qui gg pan ar soin de La Véren- - comblé de joue ses sméñcurs. drve avait-été de mettre en état de

Le chef qui avait été accusé de culture une ciairière ménagte par trater suec Îles Anglais dit alors 20 LL feu. non loin du fort. mer de

ce pmais avec dix minots

Les fortes pluies de. printemps endommiagèrent besucoup le riz sauvage sur lequel on comptait. Fi- les firent de nouveau leur appari- bon en sepiembre. Les eaux du lac em furent si troublées rt pendant si longtemps que les Indiens ne pou-

= vanant voir l'esturgeon pour le dar- qu est vens Île premier bétir un 3. Dans le besoin extrème où ils

fort sur mes levres: mous T'aimions |; trouvaient, La Vérendrve leur bemccmg Tai déjà été une fois en abandonna le champ de mais qui œrrre pour le venger. Je n'ai défait |: L'état pas encore tout à fait. mèr. œr dx cabanes, Ce qui m'est pas | Les Pauvres gens lui. manifestérent soilissamt pour nous contenter — enc vive gratitude.

anourdhes D pen | _ | Déjà le Découvreur s'eflorte de qe de es tranquihes: nous les erienter vers la culture. A force

de sollicitations, il a décidé deux familles = semer du maïs “J'espère, écrits, que la douceur qu'elles en

” tureroat engagera les autres à suivre quat-2l etait fort basse. les voya- por exemple: ils en serdat mieux, Gus Course. ETARË risque de, Los moins: incommodés”. metre lpurs canets bors-Ge service. Ces su fort Saint-Charts gr Rs element chez des DS Un M Fogriulture à pris naissance dans uma pes dues le casier ee Se) Ouest cansdiex avec l'arrivée mé- courant que de prous de boeuf — - me de: Français. Sans renoncer tout ges sms pra qu Nasri I à fat à leur grare de vie tradition- va de Françuis «1 me pourraient + mel, les Indiens suivirent les con- seils et Vexempilé de deurs protec-

TOEBATe.

leurs Au sud de l'ile au Massacre, on rencontre sur le lac des Bois l'ile "Cornfiell", qui doit son nom su

Le chef s'informe où La Véres- êrse suit Fimtesmtron de se rendre. remar-

2 <puñoh guess à» rhblns @ Maeonute sg cos «

en août 1722 lès Français y! MR Tone noie” du rit souvade | Cesf une plante aquatique qüi EX est d'un appoint |

Sermièris années où! Indiens d'alors el n'exige aucun: !

septembre, on passe à Canof à tra-;

chaque main les tiges qu'on :

et d'y se- |

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on pt bte

ns quan es

L <v-nement capital des fêtes

Histique et imposant ronument,

b septembre, "à 3 h. de l'après-midi, dans le Part À La Vérendrve, en face de l'hôpital de Saint-Boni-

PRAIRIES 3 ESSRCRRE

Le Programme Général

Dimanche 4 septembre

3h -PM—Dévoilement d'un cairn à Fort Alexandre, près de l'embou- churé. de la rivière Winnipeg Ce tumulus est érigé par les soins de la Commission Monuments et Sites Historiques du Canada pour | commétnorer l'établissement du Fort Maurepas (Fort Alexandre). La Vé- rendrse Mit ériger le Fort Maurepas | à l'automne de 1734 et lui donna ce none Fhonnetr du Comte tte -Mau--

des

repas qui était alors ministre de la marine français. Ce fut le premier fort érigé à

l'Ouest du Lac des Bois; it demeura pendant lontemps la base d'opéra- tion de La Vérendrye dans l'Ouest canadien. ,

(le devotlement se fait sous les auspices des Sociétés Historiques du Manitohs . .

Lurdi 5 septembre

A mi procession de chars

£OT 4 musiques, eic., s alé

du marché à Win-

les chars repré-

sentant s de l'epoque des

éxploratior crs éta-

blissement ) ndront

ensulle << k q reproduiront des scènés hisioriq } récent

jusqu'à n jours

Li procession suivta La rue Main

jusqu'a l'ar du Portage et celle-

jusqu'au M lu Mall jusqu'à

Favenué Brosdways. De là par cetts

| dernière sscpue, ele se -dirigers

vers l'est. Elle tournera au sud sur

da rue Main, fraversera les ponts et

suivra 1 M : jusqu'à là rue

Taché. Suivent la

Tach£, elle Foeus de

uveau,;vers l'est à l'a-

rue

iveaue d la Cathédrale, suivra la

tant parlé, qu'il remcmterait sait rue Desimeurons jusqu'à Provencher. la rémere Le plès 202 gr Be ps = ES Elle suivr l'ave “0 Provencher être meurs <2 mesure d'entrepres- Ÿ PA d' vers west jusqu'à la rue.Saint-Je- dre de voue. D Siren amp | Délégués de Québec sep qu'elle ‘suitrs jusqu pan Le mamter de ses enfants spprapêre — — Whittier .

- à Chusser aux. Assiniboines ef leur! MM Augudé Boyer, député de La procession est sous les auspi- doumer de Fesprit. L'année prochai-| Chilésnguay, et Roméo Laurin. dé- ces du Club Kiwanis de Winaipez, me: À 1raû Sun autre côte. [baté de Papineau, ont été choisis qui en assure lerganisahon. Dr

— Ta risques beaucoup, son père. | pour socompagner l'hon Onésime ! James H. Skaling, président du co-

‘de remenir avec Les canette vides ED fagnon + rébrésenter Le ‘province : Auité de La pa )

N'a benvoomp d'Assiniboines, C'est | de Québec. 2h PM-F hampêtre au pare | à #

Ê La Vérerdrye serk le dévoilement de cet ar-

du biccatenaire

le dimanche 11 x direëtlion de

Whittier, Saint-Bohiface. On y irou- |

vera toute sorte d'amusements, én- tre autres, Ia fameuse Cité Electri- que, des comptoirs de- Joutes espé-

ces; on, y servira de la viande de Buffalo. I sera fait, en face de l’amphi-

théâtre. ne démonstration d'équila- lion: sauts cheval, manoeuvres, des exerci

gvemnastique. La Gendarmerie. à cheval fera de la boxe, de la lutte, etc., etainsi jusqu'à six heures.

des barges dans Îa de l'amphithéà- aura un “Pow Wow” pourra également’ askister representations spéciales of-

7h PM-Sur:

sAUVA-

« des

fertes par la Société Historique Mé- lisse ‘ét par la Lignée Lagimodière, à Cité éle triq ere.

Un directeur fera chanter la foule t les éomptoirs offrironf aux arma-

urs de la viande de Buffalo.

(Le ‘ upéire est Grgani- se sous les, s du Club Kiwa-

nis de Saint B PET

e. Président du

{ in À sav: Mardi 6 septembre

2h pm—\ en automobile des sites hist ques du Manitoba français: ls Cathédrale de Saint-Bo- ace, la Trappe à Saint-Norbert li maison de 1 Riel à Saint- ET x cte.

SK 30 pmi—"Pageant” La Vé-

ttes trentbres ds VMC A feront es de culture physique et :

rendrve el ex] on du Handicraft Guild’ à l’Audit à Winnipeg. Mercredi: septembre

2h. pm! vale. en automo- bile t visite Ibaisons indus- tféilles de W c£

8 h, 30 pm "}aägeant” La! Vé- rehdrve et exp a du Handicraft Guild à l'Audit 1 à Winnipeg.

Jeudi 8 septembre

S h..30 p.m-— lageant” rendrye el ex Guild à l'Audito:

La Vé- ion du Handicraft

mn à Winnipeg , |

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face. Le monument est l'oeuvre du sculpteur Emile Brunet, de Montréal, L'érection a été faite sous son cousin, l'entrepreneur 3:70, * Brunet, de Saint-Bchniface.

des Fêtes Vendredi 9 septembre

3 h. pim-—Dévoilement d'une pla- que commémôralive au pont de la rue Main, au cours duquel} on don- nera à ce pont le nom de “Pont des Vieux Forts”.

À quelque cents pieds des abords de, ce pont, pas moins de sept forts ont été érigés au cours des deux.!

derniers siècles. Le-premier fut Eri- !

ge en 1738 par les hommes de La ! Vérendrve et tot appeté “Fort Row ge”. Le scéomi fut érigé par la Com- pagnie du Nord-Ouest en 1807: ce fut le “Fort Gibraltar”, Le premier Fort Garry fut érigé en 1822 et le second en 1835; Pendant plus de cin- quante ans avant l'entrée du Mani- tü6ba tlans la Confédération, cet en- droit fut le centre du commerce des

‘fourrures et le siège du gouverne-

ment des Territoires de l'Ouest.

8 h. 30 pm-—“Pageant” La Vé- exposition du Handicraft Guild’ l'auditorium, à Winnipeg.

rendrve et

Samedi 10 septembre | 5 h. 30—Banquet à l'hôtel Fort Garry en l'honneur de nos visiteurs

et des personnages qui prendront art, le lendemain, aux cérémonies - du dévoilement du Monument à La

Vérendrye. 8 h. 39 pm—Dernièére représen-

talion.du “PFageant” La Vérendrye. Exposition du Handicraft Guild, à lAuditorium, à Winnipeg.

Dimançhe 11 septembre Th pm—Uñ rassemblement de ! fera sur la’ Ri- en aval du parc Kildo- montera. vers Saint-Bonifa- |

irois-cents Canols 5

3 h p.m—Lles sept cents bartici- représenlant foule, la tradi- lion, accosteront au pied du monu- ment £a Vérendrye.

3 h. 10 p.m.—Dévoilement du me- aument dé Pare Yérendr ve.

pants,

et : dédicace La

. (Parade aquatique par les mem- bres du Winnipeg Canoe Club, cos- tumes fournis par la Compagnie de la tixie d'Hudson. Celle parude sera sous les auspices de ces deix orga- nisalionsi, :{. Vu

1 sur place, on a tout le loisir de faire:

{se rendant aux postes anglais.

| confiéren! au chef les Indiens.

|-par eau et de 85 à 100 milles par

lun lieu «6ù }a gomme .et la résine | manquaient

coutume d'aHer au fort Maurepas.

a Vérendrye — 1938.

(D'après le Journal de La Vérendrye)

L pricieuse, la plus paresseuse et eaux, tranchets, alènes, etc. Ces la plus lortueuse des rivières. ! pauvres Indiens, qui manquaient de Son cours esf un jeu de détours, de | tout, se montrèrent touchés du ges. fers à cheval et de boucles presque ; te, Leur reconnaissance et leur joie inconcevables. Les. zigzags vaga-|se manifestèrent par des larines bonds font le désespoir des plus in- | abondantes, La Vérendrye-les reçut trépides rameurs. La distance de | au nombre des enfants du Grand Winnipèg. à Portage-la-Prairie, de | Ononthio. 11 leur transmit ensuite 36. milles par terre, est au moins Île | les instruciions de ce dernier, les triple en canot. C’est un magnifique | répétant plusieurs fois pour être cours d’eau, large, au fort courant, | bien compris. Cela parut leur faire avec de nombreuses grèves de sa-!un grand plaisir. Ils remercièrent ble. Les Français qui ont entrepris | avec effusion, promettant des mer- de le remonter, en celte fin d'été | veilles en retour. Le frère de La .1738, admirent ses rives boisées et | Micouenne "qui avait rejoint l'expé- les plaines qui s’étalent derrière à | dition, se chargea de leur faire s2- perte de vue, peuplées, de cerfs et | voir en détail comment les Français

t la frère Nolant arrivèrent avec huit La | hommes en deux canots. Ce renfort inespéré, combla d'aisé La Véren- voyage par terre, à travers la prai- | dryYe qui en exprima sa xive gratis rie, avec les hotmes qui. ne sont | tude. Lamaïque avait promis de 1& pas snécessaires à la manoeuvre des | re’oindre et il n'enténdait pas man: canots. Cela raccourcit notablement ; quer à sa parole. Sachant que lé la route, On coupe plusieurs pointes | découvreur avait besoin d'hommes

pluie, la rivière est très basse flottille avance difficilement, Vérendrye décide de continuer le

! à la fois et l’on peut marcher. droit | Pour son expédition chez les Man:

devant soi. En attendant les rameurs | danes, ik lui ‘en amenait.-d qui n'en faissent, plus dé tourner | sans -se priver: lui-même, puisque les siens lui étaient inutiles pendant l'hiver. LA Le 15 octobre, le fort et les mal: Fsons étant achevés, on commença les préparatifs du départ. Ses deux poursuivit son chemin, attendant | fils devant l'accompagner, La Vé- d'être rendu sur leurs terres pour | "endrve confia : le. commandement: cnirer en conversation. Leur. nom- | 18 nouvèou fort au sergent Sans- bre augmentañt contintellément. Le | Chaëgrin, homme sage et qui e reçut des instructions par écrit sur

la chasse au gibier très abondant.

Les Assiniboines, prévenus de la …ontée des Français, s'élaient por- :ïs au-devant d'eux. La Vérendrye

dix en-

| l'eau trôp basse, L'éxpédition veriait } #£8és devaient constituer la garni-

d'atteindre ave qui reliai son. k & rivière au lac des Prairies C'était | Le fort de là Reine-allait devenit la-route suivie par les Assinibofnés | 1€ Quartier général de La Vérendrye dans ses voyages de découverte, Le 12 juin 1929 on dévoilait à | Portage-la-Prairie un tumulus desti- Ils ajoutérent: né à perpétuer Île souvenir de cet —Tu veux aller chez les Manda- | établissement francais, Pour la: cir: nes: te voilà à portée du chemin. , constance, la Société Historique dés La Vérendrye tint conseil avec! Manitoba ayait invité M. le juge

—Ici, lu arrêteras tout le monde,

! ses hommes. Ils estimaient être à! L.-A. Prud'homme à retracer la car-

environ 150 milles de la Fourche | rière épique du grand Découvreuf, ce qu'il fit en termes très heureux: — <0-2Dt 2— -

terre. Toute navigation vers l’ouest st

semblait impossible. On s'expôsait à rs.

mettre les canots hors d'usage dans L'excursion du 4 septembre à Fort Alexandre

On sait qu'uñé excursion aura lieu à Fort Alexandre, ancien fort Mau- repas, le dimanche 4 septembre, à l'occasion du dévoilement d'un cairn dans cét endroit historique.

Comme on n'y pourra recevoir :

Le 3'au matin, La Vérendrye dé- | qu'un nombre très limité de visi- cida de choisir un endroit avanta-|teurs, à cause du transport de Pine geux pour y bâtir un fort. Il fit | Falls à Fort Alexandre, qui se ferà

pour les réparations. Mieux valait rester là, où il était facile de constrüire, sur le chemin conduisant aux Anglais. On pouvait espérer y arrêler beaucoup de chas- seurs, dé ceux qui n'avaient pas

commencer Îles travaux sur Jefpar automobiles privés, ceux. qui champ. >: [liennent à faire ce voyage devronit Pendant que s’élevaient en hâte | se presser ét retenir leurs billets en

es pieux de ta patissade ct tes mo: destes cabanes de l’intérieur, il as-| quarticrs généraux des Comités du sembla les Assiniboines près de sa Bicentenaire de La Vérendrye, télé- tente et leur distribua des présents: ! phone 93770.

| | | | Samedi de cetle semaine a lieu l'ouverture des | féte de La Vérendrye, Le tout--débute par le “Pa- geant” à FAuditorium à 8 h. 30. Samedi soir est la soirée à laquelle les Canadiens français de la province sont particuliérement invités à assister. Cette invitation | ! |

Dernier Appel

s'adresse à tous nos compatriotes de-Ja-campagne com- me de H--viHe: Donc, donnons-nous rendez-vous à l'Auditorium. pour samedi soir. :

Le dimanche 4, excursion au Fort Alexändre.- Dé- voilement d'une plaque en mémoire du Fort Maurepas, consiruit -par- La Vérendrye, Causerie de -M-#abbé Picton sur “les forts Maurepas”. Dépért du C.N.R:.à 19 heures. ‘Retour à.7 hebres en ville, BiMets: 5200 1 aller gt retour. Nombre des billets limité à 150. S'adres- | ser à M-té0 Jacques, téléphoné 93 776. £ TE

Le samedi 10, à 5 ,h. 30, grand banquet au Fort | Garry. Prix: SLI. Discours des honorables Brackeï;— Cardin et Gagnon; de M. l'abbé Baisnée, de M. Pitt, des Trois-Rivières. : ,

Le dimanche 11, messe solennelle à la cathédrale. : 4 Le R. P. Béliveau, S.J., recteur du Collège, prononcera | le sérmon de circonstance en présence des délégués du Québec, de l'Ontario et dé la France. À 3h: 10, dé- voilement du monumett de La Véreñndrye. L'on repré- | sentcra l'arrivée de La Vérendryé en canot, sa rencon- tre avec les sauvages. À ART

Hienvenue à tous! , 1 |

Antoine d'ESCHAMBAULT, pire, | président général, ”

‘ASSINIBOINE est la plus.ca- poudre, ballés, tabac: haches, coù-.

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D rw", | : ; L e R = - , - + +— 12 rs = Çaise au 3 . Aussi nous der à de Dampierre, et M. l'abbé J.-A. Baisnée, su et pleur qu'elles semblent devoir prendre et de lenthousiasme ; i , avec leqüel notre population se dispose à y participer. | Se à Î » i É +) Pr v à e ; é F: K : TIRER PENTIER Pit ie ERP 13 2 2 [+ EDMNRE K3 à "tr W 2 1 € RES YNE DÉSN7T _ 1 rise er : ur =. La grande histoire, parfois oubliense ou distraite, na Aux Tes Ge bicentenaire de 131: 5h32 — GI Le : 6 encore. p à leur vrai l'adsmirablé Trifluvien et ses | Vérendrye, la Délégation française Fort Garrs. Alocutions du Ministre D da rain. «À ai ons aire: en France conme'aw Canada, RP SUEDE | ON PRe Ce 97 en TRE RS à leùr ext ire entreprise a à jieu " d | France à awa. qu'accompagnera É ph. Pas pnt et soirée française à. = £ contemper ins. IL lui EE , s 23 près =. Mme la Comtesse de Dampierre: M lAwditori Visite de FExpositiot iéel - manqua: e prestige qui avait a éd au PT OATS | l'abbé J.-A. Baisnée;-prètre de Saint- du “Handicraft Guild”. J - #

? Le e précédént, les voyages fameux 4 ‘ ONE, UN | | Sulpice, supérieur du ‘Séminaire $ , ;

tionsalolliet, d'un La Salle, La métropole, harcelée par des soucis | français de Washington, et M. Henri ‘ Dimanche 11 septembre

ment, Wessants, commençait ‘à se détacher de la Nouvelle-France. | | Bôugearel, consul de France à Win- - jg h 2% — La Délégation françai-

qui faif .perte,de la colonie devait bientôt-recouvrir d'un voile nipes. .:.:- 1.0 celle mois & GE

Feb. dernières hases ‘d'une épopée glorieuse, mais +28 Labbé Baisnée est le représen- 4 je Saint-Rodifééé - tin bumilia ! de la: défaite, C'estéé qu se: | tant: spécialement - Gruigne : far. =: 'h Au dvoilement dis monts- * æ on cui dans: léquel ot tombé, ‘chez les Français, J'un de leurs | Gone race" ént La Vérendtve, M. l'abbé Bais- ‘ nè, jp méritants découvreurs, ‘: En butte, de son vivant, aux per- | . Ne g Le premète re as. née parle en français e4 en angleis, " rige Aitions dés envieux et dès profité al vu des autorités | west du Come ef de la Comtesse « eos Û V ille : ee d : hs de Dampierre, depuis quelques mots h Reception de la colonie fois, Versailles qui refusaient de croire à la noblesse de son des-. coclmicnt en l'ansin * |" française en l'honneur du Ministre "æin et à son désintéressement, il n’a jamais connu l'honneur | Le correspunant de l'Agence Ha dé France et. de la Com Ë d'une réhabilitation au pays de France. TE: “vas à OMawa' accompagnera les dé- Parpierre. Allocution __ Ft cependant, entre tous lés explorateurs qui s'illustrèrent | l'léguës. . Michel, président des Anciens Com- 5 au Nouveau-Monde, ba Vérendrye fut celui qui eut à déployer | - |. Voïci les grandes lignes du pro- baitants; “réponse du Ministre de à le plus de valeur:et de ténacité, pour vaincre toutes les forces | : | éramme pour le séjour-de La Délk- rer ee du trophée du cos : +. adverses »moncelées'contre lui: Son génie de découvreur fut | : [sation française: dm he = robe le Ras L i g + t A + dd! à | s + des parmes aralCiniques à

S e-Frayits tné-le e e-et d'efforts constämment renou- | ; | Samedi 10 septembre rende Soeur Thérèse-Eugénie, pro-

5 velés, La difficulté des approvisionnements, l'hostilité entre | RE er 7.77" vinciale des Filies dé ls Croix Saint- F

.\ les tribus indiennes;-kx mauvaise volonté et la duperié de ses: F4 8h. 40 — Gore Union, Arrivée | ii 4 à M. Arther Boatal, direc-

|. \fournisseuts, le manque d'encouragement de la métropole et F Eng eve < ” gi teur dé Ceréle Moliére, -

. ‘.. Îles attaques soürnoises d'envicux acharnés à sa perte, Paraly- | pere ns Pos. ‘à cr ps h, 3% — Garden Party à l'Arche- ° | sérent sans cesse le progrès de sa marche en avant. Mais son |: | Dampierre, M l'abbé Baisnée ps le véché de Saint-Boniface. Es

vs es, ee son endurance semblaient grandir en proportion | | carrespondant de l'Agence Havas 9 b. 3012 h. — Réception de l'AL

.\ <s one acies à surmonter. 2 : = g sont salués à la gare par une dété-: fianre Française en’ Fhonneur du

\'u 3% x , x UT, — Tuationr de la colonie francaise avant Mioistrede France de là Coiiese E é ' ii : . Ê à sa tête Île Consul-de France à de Dampierre dans les salons du - Les plus dures épreuves personnelles ne lui ‘furent pas Winnipeg. Ils sont conduits 4 l'hô-: Mapitoba Club: à SE - — épargnées, Il.eut la dauleur de perdre coup sur coup son Îtel Fort Garry. de F ‘neveu La Jemmeraye, mort d’épuisement, et son fils aîné, mas- | 42h. 30 -- Déjeuner-France-€s- Lundi 12-septembre à “asacré par les Sioux avec le Père Aulneau et dix-neuf compa- | nada. cliez M Henri Bougearel, sui- 8 5. — Départ pour Notre-Damé gnons. Les Cris s'offrirent à venger leurs alliés les Français. | vi d'une réception. de Lourdes et Saint-Claude.

’ Le Découvreur, qui repoussait toute idée d’une guefre avec les Ê : | 2h. — Promenade en automobile : 4h. — Retuur à Winnipeg Visite Le sauvages, dut mettre en oeuvre toutes les ressources de sal: _— : - - ————— = - = |'organisée par le Comité France-Ca- du Consulat. ' É ; diplomatie pourles rétenir, L'un de ses qd mérites devant ‘. *: Pierre Gaultier de Varennes de La Vérendrye, Découvreur [osda th ce made made mec l'histoire. sera d avoir ouvert à la civilisation la moitié du con- . Das ‘. de l'Ouest: Canadien É | | + | - f

‘ tinent américain sans verser une goutte de sang. ES ——— ci : | A G d D ÿ ]

] ) ù NES g LME PA #— dé qu + :

i Un gouvernement rapace ct sans envergure avait cru se : s F-Deum. pour la première fois ae u ran écouuvreur montrer très large en lui concédant, pour tout subside, le mo- LES DOUZE TABLEAUX DU PAGEANT | ù mes la ne de l'Ouest : ; ‘ ? nopole. de la.traite dans les territoires qu'il découvrirait, Cet fran de : . NÉ FA Pierre Ga ar ! tmccepté-fânte-de rieur, fut Hz < RE ee » RUE PAIE. —— 00 Ten re

et de haines côntre lesquelles ikeut à se débattre jusqu'à Tag manu Se a — ER | PR SE ea : « : À D Qi De Tr Les princi has rre É z de Lord Selkirk. —Kk ‘la fin. Ses ennemis avaient réussi à influencer le ministre | P paies ph _ la vie de Pie de La Véren-' Fort Douttax. 1812. S - säc s où Prsnil x 4 Maurepas qui lui reprochait, contre toute évidence, d'accumuler drye e e isto e de la découverte de 1 Ouest. — | CR in CS _. s di a ces Î{- mps où er cpaigse broutsgs L d s—" , e : ° . . . e } i » > À » PIUIeFS CO- € , ce Fe ; x L ‘ des revenus dans les pays d'en haut et d'apporter plus de soins Les colons de Lord Selkirk. -— Les pionniers du Pre- | jôns, it faut compter ceux de Lord FRS Rene s for " ile her: lis se € e mins, î rp st sn 1 de à de È LS | c P . s : | , au ' ù eu s'embusquait dans l'ombre ct gii$sait sur la mousse _ à la traite du castor qu'à la découverte de la Mer de l'Ouest, sent représentés par dix groupes nationaux. | Selkirk. C’est à. lui que revient le Le serfids se D sut CAT : À quoi La Vérendrye pouvait répondre: “Si plus de 40,000 li- | res d SES mérite de les avoir conduits Sur les L Vére Ir. ne ge ! re et de É F L Sr vres de dette, que j'ai sur le corps, sont un avantage, je puis | 1è | RE | bords de la rivière Rouge. «4 Vérendryr. au nom du Chris! ct de'la France, me "flatter d'être. fürt riche, et le serais devenu par la suite | us , lère partie | : ce derniers itest appelé. II arrive a diuté Met x : re S avancait cuirassé, d'espoir st d'endurance. beaucoup us, si j'avais oniinh en L ; | ES PIONNIERS DU PASSE | accompagné dé deux chefs sauvages | !-4 € istri tion de te RES A | Et le coeur débordant d'hèroiques desseins? . plus, si j'avais € é”. | “Let Us Now Praise Famous Men” |° °n leur présence il reçoit de la | (On Le ces colons par le cn | ' | ‘LM Si s 2 dite il S inpmenbls 2h. D :. ! Macdone ul un événement impor- . . > : . [ , a à QUES | Choeur Philharmonique men AS lsiie la per er Sa | tant. La reproduction de célte cé- Ses rames déchiraient le réseau des lianes SAR à “de = À n à e traité, la permission d'al- ; "2" °< - . + . , , dr e dis —_ La-nrairise dont il fit preuve, on peut la toucher du doigt | 1.-12"marché, à Trois-Rivières. 1693. ler faire un voyage d'exploration | réMonie est présentée par Yassocia- | Balancant devant lui leur odotants faisceaux: Rs | rien qu'iv jeter les yeux sur une carte de l'Ouest. Toutes les Crout one tons ue “| dans l'Ouest et le privilège exclusif | liôn “Selkirk Settlers” sous a di- Ses pieds s'ensaniglantaient aux roñres des SGbüNes; routes ouvertes par lui il y a deux siéeles furent utilisées aussi | ut és Vote ME out = ner le | de la-traite dans tout le territoire | rection de Mme Douglas McKay. Les jouttés de sueurs neflaierit sur les roseaux. ,4 4 : ' 5, : t $ pe s b : . » ñ . longtemps que dura le régime. des: transports par fa voie des |}, place du ee FANS SUP | nouveau qu'il découvrrait, | 2. L'Angelus à quand tombait la nuit, eux lueurs des éloiles,

‘ canots. Tous les postes de commerce qu'il é : N É k ERP : Les Cac TERRES ’ sriait #1 prenail pour oreiller des voiles

« par l: ca sé gg pre il établit furent re Pendant que les plus jeunes chan-|7, Un portage. 1733. | Le poëte Whittier ax immortalisé | Et ‘end : 1 bruit Mono » d î connus par Ja suit placés aux endroits les plus avantageux. | tent et dansént, un ancieh coureur | . les cloches de la Cathédrale de { sendormail au bruit Mmonolone des eaux. Presque tous ont élé le noyau des villes de FOuest canadien | de bois raconte à des amis ses ml à La- Vérendrye a vile fait de s'ad- | Siot-Bonifice qui appelaient “le ue re: k d'aujourd'hui. © | tures extraordinaires. La Vérendrye, | joindre ses fils el une équipe de s6-! L tejier sur la rivière, le chasseur Aux premiers feux du jtr ! ; ncatent les marches , è Qui pouvait prévoir alors Fimportance que prendraient | enfant, quitte le jeu pour écouter |lides coureurs de bois. Les ayant jus ja plaine”. L Les portages. Lélan des UDITORRS.., | plus tard les grandes plaines de l'Ouest canadien et américain? | furtivement ce récit. Dès.lors, le | divisés en petits groupes, il s'aven- Ce tableau pästoral symbolise la Ses canots défiluient sous lombrage des arches, "- hasard désigne l'enfant qui sera un ee résolument va la Me. de be D prie bare pres né à Mrs Sous les longs bras des pins semés de liseérons. jour découvreur de l'Owest, uest, Surmontant des difficultés . : | : Aur halles pour bâtir Les forts. à rude tâche! sans nombre et faisant de multiples de l'Angelus. I à : - php : 2. Âs nie ; mx ! : | | Dans le ironc des sapins il enfontait sa hache. SR re [portages. . 3ème partie Pour équarrir les picux peinaient ses bücherons. “Je me suis sacrifié, avec -mes: enfants, pour le service de Sa | ge pour servir dans les armées du | 8. Un camp près du PES TIONSGIRRS PA PRESENT : où à a : | roi, Devenu enseigne et la guerre! Fort Saint-Charles. 1736. . Bailet 1 Des déboires amers #-bul la pléniludes | ayant éclaté. en France, il s'apprête Les rigueurs de, la température et A la suite des premiers colons, il Jalousé. par l'envie et laissé sans soutien. à partir. Avant de s'embarquer avec | la crainte constante d'être attaqués : en vint d'autres en quête de: liberté N En pleine‘ barbari en -pieine solitude, ses compagnons, il fait ses adieux à |par les synvages hostiles: ralentis- | dans-une patrie nouvelle. 1} en vint Les arcs emipoisonnés, Le toinahawk paien 53 | TS mére et AT SES AMIS | Sel SA Maries UN soir Installé de ous TS pays à ha -recherche-— EEE EAC EUR Es CSM ONE à : .… avec de '<e , \ »5- | d'une » pe le pour eux-mêmes Lt ses soldats vaillants qu'il aimail comme ui père 3. Sur 1 nt es avec deux de ses fils et quelques- ! d'une vie peisib ’ : ’ P lein ép: et een inent La Vérendrye uns. de ses compaghons, il s’attriste ! et pour ‘leurs enfants. Unis dans un Sous Le regant de Dieu pleura Le grand chrétien à plein épanouissement est fait prisonnier. 1709. ‘. , 8 à y I J - et redresser l'erreur du passé. Sur Ro : F ge nier en déplorant là mor! de son neveu | sentiment commun, ces groupes s'ef- En ‘ | L Le [es S'étant distingué à plusieurs .re- La Jemmeraye. forcent de réaliser leur idéal et d'ac- Quarid il eut de ses mains fermé de fraiches tombes ( | 4 prises, il est grièvement blessé à Soudain, survient un éhef sauvage : Cumuier un héritage commun pour El pleuré le trépas cruel de son neveu En:dépil de toutes les circonstances adverses, le nom.-de | Malplaquet où, souffrant de neuf | suivi de quelques braves qui vien: leurs enfants. | Sans ployer sous le nids des lourdes hé alombes N La.\ érendrye est assuré de vivre, au Canada.-entouré de-pres- BIesaures, il est laissé pour mort sur nent lui apprendre la mort horrible Au prix de multiples sacrifices, ; Fort-deen-mission ps Son-conäËr.35 Die es #e h tige et d'admiration, Sa renommée ne fera que grandir avec | © champide bataille. Il n'en guérit | de l'ainé de ses fils. du Père Aul- | mais dans un esprit de cospération, El reprit sur les lacs ses inlassables courses ‘ chaque génération, à cause des hautes lecons : +. ne Lite que pour passer Quinze mois dans | neau et ‘de leurs dix-neuf compa-tits établissent des bases solides à pe ‘ ' qu: ER AA UE< que. et A cause .ues Nautes leçons que dégage foule | ins prisom-ennemie, Sa seule disx |-#nons que les Sioux ont massacrés | l'édifice national I sillonna Les eaux et monta vers leurs soürees. foutre Comme l'a dit l'historien: Lawrence J. Burpee: traction est d'observer l'horizon par sans pitié La Virendre ho ersar aides 1 à plier at j Il atteignit la plaine et son horizon bleu ° ‘ “Son histoire est celle d’ u i-s'éts ixé tèe fs : [__— Le = re € TFaS- 1 Nous swmmes héureux dé compter ‘ s | eamsE RER à t celle d'un homme qui, s'étant fixé une-t#ché l'üne étroite fenêtre en Songeant aux | sé par la douleur. Le chef lui offre : an nombre de nos voncitoven "he rs L gigantesque, non pour son profit personnel, hais pour la gloire | jours heureux de sa jednesse, et illles services de toute sa tribu et le! tic " + Fat différents sé a De la mer de vers et des [leurs de prairis Ê de son pays natal, l'a poursuivie sans défaillance en dépit des | entend en imaginätion les chansons ; supplie de les condufre et de porter enr cmt D A rh see ca pu, si Emergeaient étlonnés des tromneaux dr. bisons obstacles “+ LAOES sortes, en dépit des découragements épui- | d'autrefois, au pays natal. + [la terreur chezles Sioux pour ven- a Nic prises pret eh Er lu nom du Christ. au nom de sa France chérie sants, en dépit des faux. ra : : "4 ie, jusqu'à | . ge de ‘50 : LC: els — Fe RS ; - D oreri : #4 A la : t'vie din Ppors-e de la caloninie, jusqu'à | 4. Les Epousailles de La Vérendrye pere eds de ‘spa fils. Comme La Italiens, Tchécoslovaques, Hollan Sur ces immensilés el sur ces [loraisons En à ce que la morl:vienne Pinterrompre; sa tâche inachevée, mais à Québec. 1712. . Vérepdryé! refuse. obstinément, le! ie Hébreux. Polonais Ukraïniens HE planta son draprau, puis, poussa sa conquête DE: : rémarquabte- dans son inachèévement”. | La Vé j | chef l'aceuse de lâcheté, Pour lui die ns de -Noissanc: Hongrois lux pieds drs monts géants dont le sublime faite - . ARE - A Vérendrye, revenu-au.Canada;! donner une preuve de &a vaillance, | 5°: Per PAC ES OOIPETH ES Le. : | ER ; à : te : 4 .: : . en k > . ‘ : , x. lermminde ; e sole d'a és b TV. : P tons : # f Donatien FREMONT. e ont lord de fourrures. Marie-|le vétéran de Malplaquet découvre Intdais.- Allemands. Etale au ssleil d'or dés blancheurs de: loison ) ‘ us : lis sans Ÿ —— | Anne Dandonnean du Sablé,/sa pro-|$a poitrine et lui montre sés neuf I : | " j À À , } Sa il m0 . Interlude - ” . F _ = Une reinarquablé exposition fricheür":de Hôyrgeauk, propriété. Mie La Allende Peudant ces lon- | blessures. “Ponip arid .Circumstance” SNS an Eire Rs : art Aer à Mneaté A » M Ernest Gue tie . | Sues annces: Enlip-tes amoureux Se |} . , ,1 " Pomp and. Circumstance ac é sa Dir el ses NarTuIs eEnjants,; de broderies et dentelles ve ms Poire. de marient, pO [9. Un tombeau à l'Île au Massacre: Fdward Elgar Quand il eut épuisé La coupe: de souffrance | É = françaises | uue d' imtres imerveilles à ddéfirert} 5. Au Eoft Michillimackinaë. 1729 13 |. « Orchestre TI du rai foulé. par ses pas-triomphafts he he . ———— ‘ Ne. manquez donc-pas de. viser 2 ourbé soul pqids -desa hou: Eafelklze Portals” RE _ILs cn alla trainer sa vieillesse abattus. D L On sait que le programme des | cette exposition d'arts domestiques | S'étant rendu au Fort Michiili- | leur, La Vérgpdrye: suivi de ses 4 Gnme U dort d'un lourd sommeil. Sa voir forte s'est Use *. à

> fêtes de La Vérendrye comporte une | durant ‘les fêtes de La Vérendrye, fa Snrre 7 rencon- | deux fils él dé-ses compagnons, va Clioeur Philharminique I n'a pés on la gloire et feux échauffants

exposition du “Handicraft Guild” ! 0 A ——— Ltre le Pere de Gonnor. Tous deux | à la recherche de Yendroit-où ics ? « : = = | ï: ire: visitée à l'Audi « à l'eausent avidème "ln nossibililé | victimes : F4 s FINALE : IL ci.

; qui pourra être visitée à l'Audito-.| Où se procurer des billets | "5" avidement dela possibilité | victimes ‘ont été ensevelies,_: Ayant Iluminez Le-front dont li haîne et Teñüie ciuiu à toutes les représentations du dat sb | Ale découvrir UN passage par lerre.à | trouvé le tertre, lui-et les siens s’a- Anrès deux siècles. l'esrit: de :1 Cherchèrent tern p Hert 1115

È Since) pour le Pageant l'là mer dé l'Ouest, (l'Océan Pacifi- | genouillent et pri. nt Apres deux siècles spri e La « mir Cote tininmaCttTé

\ : + laisi | Fur | que) Ils passent des heures penchés F à ‘ 3 Vérendrye dômine encore, flambeau Consolez La grande dme aû malheur asservie. & la mn de H. Henri Boëlgearel, | “Le pretvière représentation du|sur des cartes primitives, dévisant 10. A la fourshe des rivières Lo {, Fi a proie, À Led Failes battre fe-coeür. dr pleurs de sang gonllé, t . pme sc Pres à Winuipés le ut Pageant aura lieu le-samedi 3 sep- de cé grand.projet. Oechagab, un ami Rouge et Assinibbine. 1728. de ee rhécer be age | Dans te bronze coulez Ke nerpque visage | en du (he Le - do de} témbre au soir à l'Auditorium de L'ativage, leur est d'un grand secours | : Ayant & haphé à des dangers con- LS Re Er 1 sa NT au W+ vom è Afin qué:le he ros nous vréché d'âge én âge 5 L ñ "1 | * # a E 4 ' EN.» Paris a consenti -à prêter . pour la ! Winnipeg. Les autres représenta-| en avisant La Vérendrye qu : par- | tinuels et ayant suhwonté des diffi- * us souhaitons que hu pe 25 sac Le dévouement ef: 1e dévoir invidlé circonstance une riche collection de | a pl iieu les. 6, 7, 8, 9 et 10! eours. à suivre, uléss embre._ la floille de là venir, tes Pioniniers d'une-êre pou. | di ARE ns broderies, dentelles ‘añcienties et | Des billets sont en vente aux en- 6. Un bal chez le gouverneur, La Véremdrse et 054 homes alleinl| vale marchent résolument vers 46 08 paissaienf. leA,Bisons, un_-océan-imihense :, F coiffés.des provinets françaises. Fac Le mc Lee cor ee |: à Québec. 1126. |enfin la fourche des rivières Rouge | cés:-—«-- De froments d'or ondule au. gré du veut berteur: û ; À Î i ? . D, - w te oin 4 € _e A Wii ca . f } . : RC: 2 Ce numéro” Spéélal ne manquera | éje Piréf ine, Pal's Nip' Shop. | 'érendrve. détermi = et Assisihoine e l'entrée, de: l'in -O-CAXADA Pour celui qui jela la Jécond: sEIMENCE, PA 2 ne 4 |'cie éfontaine, Pal's Nip’ Shop, La Vérendrye, déterminé à cher-| mense plaine, Il y trous elque L . ont d'acerblire l'intérêt de l'exposi- | L'or F. , : j ( 1 3 à ; uve quelques eh CD -D—————— Qui früya le senticr évanaélisatgur. 4 a pas ' pc | H d'Fichambaul « M. S: her l > » ; ‘ : D d , * 7 é rs .: | teurs Açhambault -et -Cie, M. Sa- | cher la mer de l'Ouest, a besoin de | tentes de sauvages. Deux bhefs le! : 4 + d tion du “Handicraft Guild”, section! bourin. Wood’s ‘Barber Shop et | secours -péenniaires. Il fente sans! recoivent d'un air hésitant, Puis l A ATTCRTRE ps Dônnez votre GE; donnez votre modeste obole, , ar :, frafiçaise, et nous sommes heureux | Eagle T5üh à SaintiBoniface: Wid: | atrcès d'e ' . dun Da e F uh sir | itant, Puis l’un L LAT TSBI RGH, N.-Y. — Le R. P. Donnez pour la. statue et la juste: auréote Fe fon romasclil id è | e Taxi, à Saint{Boniface; Win: | suécés d'en obténir du Roi de Fran | d'eux lui offre le calumet de ia paix Victor Lewis, O.ML. prédicateur de | Ok pe - : k x d + « Dre “a drait ; Lg aines Planb. É L. M. Me Loans ‘la |.ce. Cependant le gouverneur l'en-|'et au. moment où le missionnaire | renoi, est dioéié Le 24 oo8s mn. À Qé'atlend le: piedestal. du vaillant Découvreur. CRE | + : Un bois sculpté main, le "Dé! Buie d'Hudson, à Winni ‘,. r'i courage, Uu soir qu'il y a bal chez bénif le gr c . F en | : s CE Le pt k een À ra AE à 2, 1: l . 4 .Qu'i y à bal chesibémil le groupe, le chant du Te | deux scmiaines de maladie. TER RE ; Armand CHOSSEGROS, SJ. d + DEL +» pes ” J . L “/ P L'tiail A À % ÿ M 'ie 4 É : 5 LA Y arme ES . “+ ; ee * F an p i did qq | | ° ed " % : 4 L , dy 5 ( = Li mn 4

. aux fêtes de La Vérendrye

: , se fraye actuellement un | fait gicler l'eau et s'enfonce à À longue patrouille septentrionale. CRE LE Rae Ed . à proue ée et | Fort il, Le Nascopie ne peut | - * arrondie ap à Bd À pognon bot. msn 13 à 109 commerce de Ia | et le moüille en haute mer ÎL transporte une | sans atteindre les rochers. dé passagers, et une | 11 n'existe ni phares ni jalons. Aux étrange éncore. lenvirons de la

» l'an des fils du souverneur |

| rige VU Canada, qui passera une ! - fois, ns le nord, à l'emploi de la. me, comprend les objets les plus di- !

ses à dents, bacon, caisses d'oeufs, |

.hots de conlfitüre, paquets de-thé, |

boîtes de biscuits, sacs de suére, |,

ine, canots et baleinières: à oile, disques de. phonographe, bat- |

î :

Davis, où il ue avec le monde, sans indications gs hu n

| peut même plus se fièr à la boussole,

fiuence magnétique du pôle, et à la-

| &yroscopique | jour un officier de bord.

que vérifie . chaque | la famine.

Quand le Nascopie sé met à l'an-| boîtes de lait, bidons d'huile et de;cre dans.le voisisage d'un poste. de!

commerce ou de la RCMP. kayaks, umiaks, baleinières et canots auto- |

[sons intérieures afin

Ce tableau, on le voit, est là

Pecanpagee. ei mn Ra.

monument qui sera dévoilé à Saist-Bonifare., ll représente La Vérendrye avec Le missionnaire qui : par HL Levéque et linterprète par Joe Tock

reproduction 68 : vers ks plaines | perssenifie par

fixant Fhonz-2

de l'Ouest. La Véremdrye est Arthur Loutal. le misssommagxe

Esquimaux réussit à capturer ==) Anrès les fêtes de Chanleau et de Péribonks | vers: munitions, peignes, sel, bros-| quelle il faut substituer au compas.) phoque. Le groupe put échapper à

Mais c'est à cause de là poraibiti- | té de Ps conditions que la RC | MP. patrouille chaque hiser les ré-! s° qu'aucune famille indigène

dissiperont l'ennui des longues sveil- ! gens de l'endroit ont depuis long- | se de laide qu'apporte le ‘Nascopie

lées septentrionales, bref,

un vé-! ‘temps enteñdu les clameurs de laque chaque famille est_si heureuse |

fitable capharnañm de: colis qui | sirène. La visite du Nascopie consti- | de mettre La main au déchargement |

s'entassent dans la cale et encom-| brent le pont. : |

tue d'ailleurs l'un des principaux événements de l'année. Deux cents

de la cargaison. | Une fois cetle .cargaison débar- |

Quand it jettera ses amarres à Ha- | | Esquimaux se pressent sur le riva- | quée, une fois les fourrures, l'huile

Max, en septembre, le Nascopie | aura franchi 12259 milles, après à-! voir quitté Montréal au début de |

ge qui, demain, | doute, désert. - L'Esquimau ne se fine nulle part

redeviendra sans | de baleine et les auires

articles chargés à bord du vapeur, l'admi- nistrateur du poste donne à l'añesl :

Mes Maria et Lis Hémon | fille et la sveur de l'auteur de “M ria Chapdelaine” viesnent de ren- trer es-Fracce. Elles bat bien vos-

lu nous résumer en ces lermes leurs .

impressions de voyage au Canape,

“En prenant contact avec cet àd- mirable pass, nous 2100s enfin com pris, ce qui pour nous était loajours idesmeuré si myslérieux, pour uni noîre père et frère s'était si invis-

‘ juillet et fait escale à quärante-cinq | en groupe. Essentiellement nomade, | du groupe indigène des paquets | ciment senti stivé pér lui. Fais

posiles disséminés' dans la sauvage

| il vagabonde à la recherche des pho- |

thé, des .boîles dé biscuits et des!

solitude du nord. Si la tempête, le | ques, des-morses, des ours ou des! bonbons, pour iles enfants Ces ca- brouillard ou les glaces l'empéchent | oiseaux dons il se nourrit. Cette} deaux sont distribués cquitabiement dé visiter l'un de ces postes, il x! existence nomade fait la désolation entre les familles qui s'en vont aus-! - sura portion congrue pour ioute une

année. Un des postes de la RC:MP. ! dut être. abandonné, cette dans l'Arctique occidental;

bison,

sa far-

s'établir près d'un au- !

FoViciois avant Cou d:

la ration et assurer la subsistance des habitants du poste abandonné.

. Dans l’Actique éôriental, un poste qui ne reçoit pas la visite du Nas- £opie doit recourir à ses réserves : et, pour parer à cette éyentualité,

des missionnaires qui voudraient | ! plutôt voir les indigènes fonder des

| temples; mais à une ou deux excep- |

én place.

Une fois à l'ancre, le paquebot. posée, quite h _eubtrir ensuile de 12

ir enses res sur lesquelles ils chstruisaient une plateforme pour y transborder ! les marchandises. Le Nascopie, lui, utilise une série de barges à pont élevé et munies chacune d'un mo-!

année, | villages où l'on pourrait élever des |

proie: ve Mackenzie. Les postes qu'elle de-! du nord avaient jadis - l'habitude | veles provisions.

—#ait-ravitaitter devront 36 inéltre à d'assu balteimié- :

teur à gazoline. On les descend à la! ! marchandage commence. LL

Ychaque poste emmagasine -des-pre-! mer et le déchargement commence. Toute la population esquimaude ac- |

;‘isions pour deux ans. Le Nascopie | ‘ne vient qu'une fois l'an: s’il fausse

‘visite, il faut quand même pouvoir

_ subsister un an.

Mais le petit brise-glase PATTE ra- ‘rement à la tâche. Mettons qu'une

° mer de glace l'empêche d'atteindre

‘le cap Dorset, par exemple. Îl ne re- ‘brousse pas chemin. Son nez d'acier travaille à disloquer la masse blan-

‘che. Si là glace est épaisse, la care- | ne arrondie du paquebot se hisse

complétement sur la-croûte gelée.

Vient ensuite un moment critique: |

si la glace est trop épaisse, le va- peur peut rouler sur le flanc: ou! bien, la glace graduellement affai- blie ‘par le soleil cédera sous le

.poids du bateau qui retombers à

’

» 0 ment.

flôt avec un terrible éclabousse- Quant la glace refuse de cé- ‘der, l'hélice, spécialement. construi-

le à cette fin, fait mächine aïrière:

le gouvernail blindé est assujetti à l'arrière et entaille la glace derrié-, ‘re le navire.

Enténébrée par La nuit, la mer peut ‘charrier ‘d'immenses icebergs, mais le Nascopie. progresse quand même: les officiers de quart sont. extrême- | rent habiles à discerner leurs inas- ‘ses sombres et rédoutables. Le jour, | yes montagnes flottantes arrarhent | au soleil des reflets éblowissants. ! L'un d'eux ressemble à la devanture | toule rutilante de lumière d'un ci- péma; tel autre, plus élancé, rappet- | le la flèche d'une cathédrale.

A l'approche d'un poste, le Nas- copie déclenche sa sirène qui perce | 4e profond silence du nord endor- mi. Le paquebot ralentit. Le son-

{ à

| | Ë Ë

| déchargement. .

cuéille les allèges sur !læ rive re- cailieuse et s'empresse d'aider au

sitôt y faire honneur dans l'intimi- té de la tente. El quel honneur!

La menace de la disetie n'incui- que aucune notion d'é épargne 2 rEs-

ses commerçants et ses indi- | tion près: l'Esquimau ne peut rester | quimau. Philosophe à sa façon, ïl #ènes durent tre. poste, une. allège thargée de!

épuise tous jes vivres donf il dis-

d'en inspecteur sénérai de Finsiruc- tion Publique, qui eût voulu faire

normalien, il ne révait que d'aller, | au dela des mers, emplir ses veux | de la vision de terres nouvelles. Iÿ2- bond il s'était cru fasciné par Finde- chine et, en même lemps qu'il fai- sait ses frois premières années +

droit, avait appris l'annamite. Pués. durznt les _longues réseries de ses | dns

Le Retour en France de Mlles He

mt cel ouvrier nié es Alerisaël ‘ leur muse ef Leur vie. Léur inéfiamce passanme s'était intirctamemcmt dressée ef 1 em était ; rièsullé pour los ane lonsme perw- de sex paille, Tinpocenre de cet- ‘le. cccupalios part d'un ouvrier 2griole, me leur paraissant nullement évidente.

“ls onl saperd'hui, enfin, coss- pris que leur pensionmaire m'avait rreù d'un espion La maumire si émouvante dont tous s'expriment :

maintient 2 s0e égard mous 2 imfs- | miment lourhbers. lis on enfin coen- | de Jui ce qu'il était lui-méme., ui quet colle pour Es ferré coms |

dienne avait. serme dam da de . ce jeune Hecton Par dels le toes- beas leur ser renecAÀ mauntensst à sca avrour., C est test ce ail avan soshate.

—(ranss-Constn)-

= Pie Mi-osntianers

TC &s pce rs metal l'image de ce Cansds sequ combattre le racisme.

quimau s'intéresse discretement ‘zu déballage des colis. des caises. des ballots, dont le contenu est rangé sur.les rayons du magasin. Quand l'indigène revient de La chasse, l'2- ministrateur évalue s= prise et le

L'administrateur aligne sur LR | comptoir des bâtonnets ou dés dis- ques de métal dont chacun repré-

Les différends ou-! sente une pièce de dix sous, de

L_ vriers n'exislent pas en ces “postes? vingt-cinq sous re. l'un dollar;

lointains. Tout Esquimau, homme, | L'Esquimau désigne le rayon des acceplier. que ce long

tant de prestigeus Francais 21258 donné le meilieur de leur coeur. 24 ges héroïques, s'étant imposée à fui avec wne force toujours plus mapé- rafive. Î1 avait fini pur nous le dé- clarer. L'indochine attemdrait. El entendait. tout d'abord, 2ller pren-. --dre-un bois de Vieille France. Trop scrupaleux peer prétendre ‘écrire sur ce Camsds Los pes péres. où plutôt ser ce qu'il en servirait.

sans Y avoir vécu gl Rrorebs æ ptembre 19 défendait-à FA

deticat séjour,

longten: ps vécu, poat

qu'il

trop

femme ou enfant, est débardeur vo-| munitions. On lui en remet une boi- estimait, indispensable à sa docu-

lontaire. et sans rémanération. L'é-!

quipage dépose les colis sur la barge et les indigènes s'em emparent al-

lègrement pour gravir les sentiers! une boile de biscuits. Un autre - menant au poste: à la station de la tonnet disparait du comptoir. Meme front. Ainsi seslement

R.C.M_P. ou au domicile du mission- naire. /

ll y a des boîtes de munions “Do- puisse souvemt s'en pever le luse,

minion” pour la gendarmerie, mu-

te et l'on supprime le bäâtonnet où le disque de valeur correspondante. L'épouse de lEsquimau jindi

chose pour le thé et les autres den- rées, car l'Esquimau, lbéen qu'il ne

aime la nourriture des blancs- Voci

nitions qui peuvent soüvent sauver | un indigène qui. la chasse ayant été

la vie d'un gendarme lancé en pa-.

bonne, se sent généreux. Il désigne

trouille. Il y a des munitions pour | un beau peigne coloré et sourit à sa

les postes de commerce;

d'autres | moitié,

sourire qu'elle lui rend en

pour les Esquimaux ayant les ino-' palpant le peigne, avec des sous. yens d'en acheter. Il y a aussi de la; ments de joie. !

poudre et des amorces qui, en ces |

TParañes, servent à une in bien par vor vovage vers be-merd-et aftesmt

ticulière. Lamentablement pauvre, l'Esquimau à constaté qu'en gardant!

les douilles métalliques des cartou- | seuls habitent deux membres de

Cependant, le Mastigiie poursuit

Graig Harbour, use ïle plus vaste que la Grande-Bretagne, mais que La

ches, il peut les recharger avec de | RCMEP., leurs deux guides esquis- la poudre, les amorcer et s'en servir | maux, les fémmes et les enfants des

de nouveau. Procédé dangereux,

| sans doute, mais moins redoutable

| guides. Eïre au service de ki police ou 3

encore que Îles griffes de l'ours po- | l'emploi dé la compagnie confère,

laire affamé ou que la ruée d'un morse furieux.

| t

comme la mairie d'une petite ville, préséance e! distinction. L'Esqui

Là-bas. les armes à feu ‘coûtent | Mau politier arbore l'Union Jack

prix de plusieurs fourrures de re-! nard blanc’ Les cartouches valent !

‘cher et on ne s'en procure qu'au | sur sa tupek (tenie de péau) en été.

el sur son iglou en hiver. S'il tra- vaille pour la compagnie. 5! déploie

leur pesant- d'or. Elles dispensent la | | fièrement le drapgrau de ‘la baie sécurité. Au lieu du harpon primi. | d'Hndson: Mais il sait que celui-ci tif avec lequel le chasseur. doit af-|

fronter le morse redouta les défenses peuvent, en une secon-

ble, dont | Que

' !

ne confère pas celui-là.

Comme la rade de Craig Harboe r

autant d'honneur.

de, infliger des lacérations mortel- | n'est hbre de ses glaces qu'un mess

les. l'Esquimau peut, grâce à sa ca-}

rabine, abaître sa proie à distance | exercent

raisonnable.

res signifient, pour l'indigène, à

sé- |!

per annee, les officiers.du Nascogie une. étroite surveillance,

1 car la glace peut prendre en où rien, Un bon fusil et des munitions sû- | de temps. Les transitions sont brus-

ques en cetle terre sains Éessæ en

cürité, le vivre ei Ki vie sauve. Où! mouvement. En -giarier peut METITE ne s'étonne donc pas qu'il consente | des siécles à se déplacer de quelques ;

à donner le: fruit

de nombreuses | Pieds, mais la chasses et de plusieurs semaines de! déclenche, elle,

tempéte, boréale sé en quelques secos-

Isbeur. en éhange de ces choses | des. Le déchargement du bavire st qui lui assurent subsistance et pro-|Poursut donc méme Le muit. ce qi

tectron.

Un camp d'Esquimaux se trouva. } un jour, à court de vivres, ei les | malheureux restèrent trois : mois | sans trouvér. le moindre phoque,

les’ une façon de dire -puisqu'il :

n'existe pas dé yeritable dissolutson

1de-continmité de lumière à retie— période de l'ansée.

Fu revezsxt vers le sur, le Nas:

morsé, ‘biseau, durs. ou poisson. Ils | copie côtoie l'extrémité nonÿ de l'ile

grattérent leurs tentes confection- de Baffin, dont Le plage, à cet ee-

nées de peaux. afin: d'y recueillir | Aroil. ‘offre une couleur’ sanguine. les moindres partivaglez de graisse ; phédütmene dé : ls puiverisation y mèchérent méme lears boîtes de : &renat parles glaces et les flots de

peau de phoque aprés que les e2- fants eurent dévoré les: moindres

Es mér Glariaie. Progressant toujours vers le sud.

ue nourriture. Eafin, äprès le navire atteint Clyde HMiter, petit et trois nuits d'attente , poste solitaire ou Be se trouve qu'un

pris tron-de-Bheter Pan ds | ses!

base,

’

V'ulemimestrateur ‘local

mentation, représeniat

reprend café tr dette apte du sobage: pour rallier Flalitars., poit d'attache. CEE

k Fhomss WAYLIXG. —{L'Ovsie € LED.

> mn

CASTEL GANDOLFO — Le Vage Pie Nix fai connaitre so imtee- tion de coatiomer de comdammer pa- bliqumement Le mowve2s prugrzmmene raciste “arven" des fusuisies em de- pi de Fac: ordi imlerveuu le 29 208. ‘pour mettre fin à on vif différend entre Fâction catholique et le parts ærasslimien

Cèt- accord réaflinee d'entemte de

thon catioligte d'imlcrvessr dums le programe rartsie staliem Le Pape. pressant Es parole aix

si simculsére, de la :

l'évhréventants < «ammtoens cn free . des Etats-Unis. «= ve dus CES

tra Sassemet be dmmtece deyses 1e- E fsoms rérspr Aaires avec Le se L'éie pe ze DÉSIRE- Masse 2ccord ue, don, sers siçme de Lomme 4 beure à Faniomise LA

Ce cam me Ty

Tontrfuis le perugie Sera pas sassi 22m ‘en. fuertemett canadien st ca 4 Fdletahblié sé a sicnsture aug tei 2c- cord svec Les Elus Umés peut Dre compronetite eff asc mer padsts-

Buse de la campazne électorale

D'autre part: os cru que Le mue veille entente, avant détre rilrfoce par le Parlement, : servirs de pru- Æamme politique zus proches élections gémérales. On dit mé qu Væbmrmrstr st son Bocnsevelt 2- Trad, 2 j'asiomse. dérist D css ‘me pour l'élection du Consrés, à ysmlur des sévères inirivusstoeres he Es part des cultivateurs dé Pühuest et Î des intéressés à lesploilatice f ie

Fisre.-mne sujet

Los :W-1ù Euler. ministre À commerce. « aciorlisment ee Ex- ;rope où 1 visiterz, abrés s'être ren- 1 du comgle des progres du pasuilom rats à Fesapsiios de Glisgoux

l'Allesmigne, italie et En Tiébécnle-

Zen ss Leger

es .

: RP

se. descmson du commente <2- he &: us ces dus pays, «él pro- + rc at CMUTAT des pourparlers

commente exportation da Canada

AMESTER., Angleterre, — Le hester Gonrdinn", femille filé- : paie mme dépéche de Londres et “pot que ke pacte angle

Le js srunl dt gén énnts dis do: cu sSotes vecliomimaires Tam dernier :

entre Le Morsmen-Uni et les minis: tres” du Cabinet canadien, le Canxds vofrqes quil comswaftirait à renon- cer su pofcremres 2coondérs à 50 blé. afin d'iméliorer le commerce Nes ie st © M

On me croit pas à Londres que le trailé soil signé avant [21 mi-sep- tedhae-

SCHESCHNIGG SERA JUGÉ BENTOT

L'ancien honcdlier: -d’A procès nour haute t | dé ‘meurtre rudiciaire”

VIENNE “Kart Schswrhaisæ 2n- tr 20f dogatme dd e ‘du moe He. saberz pure 2 an se pers, sous l'accusation de trs em vef- tu d'une »

Dre

aueil boë qu à ete pero malade et publiée dens L Gasrtté OMiscielbe: ct qui cr e tribumal de Vienne de-zmgt bu! Schesrhaigs et plussenrs de ses collrques im dents dans limcien guvermement sfricisen commgararaiemt. Sçireseis-

higz est aiuellement priscemier-.de Lx Gestage tpolire secrete 2bomms-

der à Vieupe. Si est iroesé cos

pabie c'est La sublime qu lient ” Les sormsations -erumt postées par Josef Burrhkei, sémemitraieu mi

terrain sav E'rive. Îls ajoutent que ce lerraie edf exposé %.leur feu

_p® M Or NN TAN PARIS As cours dé dure pt scules. ka cite mmaritle de, Limbes

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frsquer Durs Dés pour le téacfie Lee le Les maris disroi que Schmshnige +» grolbablenwat traduit devant trubaumal sous amie æorwsalion de buste tralison gance qu'il saurait cherche à mégorier avec des pass- sames étrangéres pour former un fr

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cobers omis de HZ.

€ Les frilamaus matrorhiems

3 Pour 508 PE csndisnts du Collège de a Prop dAdoif Hitler, 20 moon de peugie . (5j muxs de IS, qusnd l'20- re une charge. il avait résolu d'aller sion de La foë. 2 omis ses smditeurs Éemamd Les members du tribanmal cie éiéer Enseliest Dullfuss y gagner son pain. susvami Le pre- nf tre La “plaie” du gatio- seruat désiinés por Le fwlurer Hitler fut duns Le palais de ka ceple évangélique, 3 ‘3 sieur de son malisme +12 < fait 2lossos 2 lai-memxe. . chu

nr de 10 ses récemtes derlaraloums cadan 3 œ nes scrupale de conscience ef. en pleime mont La mailecur smitation de la L : cs : L cuphori pourra eus me Gut La question r en Autriche cume,: sans ceîle pri 5 pe bar Fitali - voa une mans S 6 Dans son 2llocutsom zx éte vis-à-vis du lectes DOMIETIT SES disnts le Saintfére 21: tisemé à Les megrelles publiées à Fétran- cela mime, ee dépit veux ef son espril de ce spectacle ji ours reprises le “maliomalismue ges. et suivant lesquelles mn srbis- du désir aflitfié pur les autorités canadien dont il aspirait d'abord 2 exagirE \ | me serait «= paiparafiss en Aatri- | frère un svt spéciss ages se penefrer. “Mon conseil. dit-il est de vous che, ne trouvent surus crédit 2 Va- , ques safrèchiens, plus fave- “De re manmgscri de Maris Chap garder de toutes chors dansereu- tiran. où Ex fidélité et l'attachement rs ge cle qui à été réservé aux delaine. qu'il CDVOYE 20 ses, mais, par-dessus foi. du ma. de lepescogat. du clerze ef des f:- CPE allemands, car om se TempsT. il avait ar e ne fivmalisme € saré. I 5 à dr différen-. déles antrirhiens à lEdine romane, rod compte - sutie afittède m'est à son pere, en bus tes sortes de maliomaslisme, foi 2e scaksent pas Le mes es a doute. ‘Mocles que pair des considérations leurs d'en prends cuis l'y à ame humanité ef use On n'atribee zuocume ipgérismre fa:toqgue-s «4 me vise, em derniére sm» ne qu'elle fit cos ruée 2 Île emat- sutre. mme imdividualité ef mme 20- à certaines manifesiations ‘isolées, ns, qu 2ffaillir Es situstion de son jusqu'à son retour. Quand IMes tre Hi w à des mations ef des malio- qui sont le fait d'éléments dot. Les ÿ et à chier sun intran- Fa rappelé à lui, il venait de nous qulismes mais = Tout- Purssamt à lemdences. ne refletent pas Véfai ss : ? écrire que, de plus plus fasciné epéé les nafioms ef por coaskque ni dl'espoit 2rtmel.des fidèles de Es lu f nn .el emricagie sans par le Canada et € canadiens, ‘1 doit v atfusr plare sur cefle-lerre rarclue catiolsque 2utrichue max. rouge d'allemand me Vatscan, ds Tes vesait de déçider d'ecrire ue deuxie- Be a sxoaulisme jusle ef muts L'attitonde poise ga raumemi de : ; mue de relever les 2i me roman sur cet 2dmirible gran : gé assdcié à toutes les vertes TAmschluwss pur Feépasrogs 8 ; cut zutsi pass. Havait don Héyoir de mèms ee chien 2 pe i né . sat dé- dire qu'il allait prolcager d'envirus. ‘ 5 mue 2dhésioe lolale ss cbr dix-huit mois sa Isborieuse vie «à: Pour 12 déferse d'Hankéou me sairichuin 2e Ze Man 5 du nadienne, qu'il ne emdrast à Pa RÉ FEEOS sacinkste. Cetle aille sert l'a Eù pus ris qu'ensuile pour, de Îs. sasger CHANGHAI On apprend que le bou mo + : ; tu enfin limdc-tin bset wmandenent 2 muodilisé par Le ‘di ! 4 à . “Avec quille em mems avoms pour Le def TH:mh< es mom sem troie Les par nt se 5 L : vu, g'èce à la pen | touchante lemwat ws s'de saddiats, mauss terseures de pes | E \ quant à lu, se = ‘des Canadiens qi orfanserest 29 7 AT Dep crribe Es evvsks. parmes-{ris 3 . #72 L qui paie tea wa tre voyage, celle ferme, où sa vie. lesquels 5e 5 2 GRAN prusse-pomsse 1 né se e pourtas HR 3 Fodéle 2 ses tradiisons, il æc- fort secrète ayat tout d'abes e- soi chars des sésyvres de Taxi te A tem lontiers .d'étedier : toutes mé ses hôtes’ Car, ls , du du frbal. Les jouraius chiens 5 ns” les 25 tions qui 'posréaient loi samedi À se 2e dim sou. 2m que Ds alars Te e 6 tre ail € pée ur de louvrier agrie tait dertoa fre » dés f nes, des poste 2epor- € peut px mitirer d Esiise ct des s'effaçcait ! til à derriere ie fants du servie de same. ou ndobs Cäé : nant. en swrime £a créateur : “Marisa Chaopgdel sie” Degess pores dun aus. ls fogcis reme faste TEsis tri tee : puisse lai éngaier me Lens din manches lus siné «2 loge - marier unes Sp sngnuss- Sur pure Éter— Hrugreruher—— dune ed Rs tee RS te sue ——— + hâte Le chercher. cat le bdtait én:: capitale pronssnère soet à 11% ms mer É rte fesfartuwns 2e sat ‘ Es dommageait les bles. El était parti en,les à Fest de leur chgertif : fechignant. ‘hxissaut sèm mn En ce momvat les Jagems sef- . sur la table et, en aire forcent de se remdre maires de ls bites en avait pris connaissanre. régie du Luc Posez nos lacs ds- T, Rédüits É Fe t du T E- Ils avaient himss riate avec de que! ‘se trousse DT : - 4 qe Aa aux pour e e ravi pour que, dans nu baf pour'eus im rent pme grople lose de Tavite Bons partent 22 Czmidr? E" LE 2% 2 | BILLET D'ALLER plus un Quart pour E Coapene à à baie d'Hed- | tués de terrain à Fest ef à Fées er . us un 2. Er Qp er, ef que con Rep cue drn 11, POFE VOYAGE CIRCULAIRE . Ée Nasropée arrise à Pargniqtusgé VAS os Hoskbéon ef vers Nant- k . Copes eux 15 eus cu VE angicanc dinige mar hp 288 Was les mur ve ee Bons à partir du ? sept. jusquà 2 à pe le 5 sept pstal s à Port Berweñl, pour re- à via Rte De ancre E nr Bets 2 te Ter sept, Pour endruéis où 1 n'y à pas de service prendre es fou rares dépemees . 7 — — Le tre qe vs . v” + Gaim Le 2 wegn ; sr Fesicake precedente La payer lat em Fret, enr ar. à s pes € ÉAOCE de CAS scans le “é

de leurs fiîres ef prissleèses de cilosens et à con

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iotiimre” et d'avoir

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sent lapmée scoknive. dans les deux d | . éroiei de viliège, où s'entassaient 67 ‘à Sor e Éttves. Nous sommes heurçux de ae a Nremarve in ne Prr somhaiter à ces religieuses in plus. ré ne La Vérendrye, victime du mas: cordaie léenvenme dans notre pa- tte La RE 7 re Lo Ine des Bois. . . + D Pine ces comme ici iemeimement ton 1e ro | Ne mr dunes 2 moe 2 septembre 1885 | magmilique œuvre d'éducatios | maintenant, naissances versifi Pour roi si " eneles pourssitent avec en dé- 4 devenir un cutivat il green td de Pace Le ” 7 var organes ai intervenait mens fac “tu entomologiste, _ pathôlogiste, _… 7 septembre gg n RS - parles de Que. :; ta° imaicure partie dans lé succès : ete. ete. 11 faut encore ftre vendeur L'explorateur. danois Jans Münck |

Ù ke it obténu par cértains en- | coupérateur, publiciste. ete, Et qu'on | couvre comme par Pasagd R port © : ei “Potvi Areprencurs audacieux. On entend | ne nous taxe pas: d'yxagération. ‘de te es i ar ne dr ns sincérement tous qui S 5 hien encore dans certétnn milieux | Nous savons bién qu'il est. impossi- septem . diner réuni See Facctiencr. —. pee side ei syayuthés euse , dés l: “C'est ble pour un être si brillamment Le leutenant-gouverneur “Arch flics: M E. Payette, Jutinvilie et 3- | dans teur grande épreuve, soit par Yan favo- | doué qu'il soit d'être tout cela à Ja | bad passe en revue, à Saint-Bonifa-

* prenait la | fois. Mais nous souhaiterions: bien, ! ce, la troupe levèe par Riel/et ses.

“lille. "244 , on! | par exemple, que notre génération | pnanrpm À 2 aide à” repousser l'en servi ble bon ! rrilles.- #46. , ; - Ouverture classes vail, | soit téllement imbue de vette vérité | l'invasion enne.. Ms CR __— mme cri M cire en ÈS @ les connaissances nequises de peine | qu'elle ‘décide d'acquérir tout au __# septembre À Re suér GE mer--ons béséE ie - de me De retour À Les trois écoles ont ouvert leurs |et de misèré —sont-potrbezucoup | moins des connaissances même élé- |. Le De Ja-F,-M. Andersèn ‘des 4 her prelnier pasieur, et l'escurté- | C'est avec un très grand plaisif | portes lundi je 29 août. Les mêmes ! dans la réussite dont it est question. | mentaires dans ces divers domaines. | premier ministre (chnservkteu ë rent vers Snint-Saptrés. Lé- départ | que les paroissiens ont vu revenir [et dévouées institutrices de l'an der- |” L'année scolaire s'ouvrira bientôt. : Avec une ‘ telle__conviction, notre } Ia Saskatchewan.

leur vénérable pasteur, M. labhé | nier ÿ enseignent: Mile Hélène Cha- | H est grandement temps de prendre | classe agricole ne perdrait pas une | 10 septembre 1889 | Rocan, aprés cinq semaines d'ab-. put, à l’école Saint-Viateut-Ouest el lune décision cofcernant lel ou tel; seule occasion de chercher aux en- Daniel McLean est noimm EE . Miles H. Toupin et Bibiane Lemoine | de ses enfants. Même s'il faut con- | droits voulus, institutions agrièoles, taire provincial du Manitoba à la * -

Tsv ft à lenvolée du carillon. : Û 7 @ RRQ

Saint-Norbert

Hs sont aussi heureux de consla-| aux écotes du village. sentir des, sacrifices ‘d'aide et d’ ar-+ cercles d'études, stations mr mai place de M-H.-E.-P. Prendergast qui fer que M. le Curé à fait nn excel-! Cetfé dernière vient à ‘être dou- | gent pour leur procurer un ins- -mentales, laboratoires à Teü r_dispo- | à démissionné à cause de: là politi- es Gus shosk-ctess— Loi voyage dons | Quest. | loureusement éprouvée: par la mort | fruction solide, n'hésitons pas! Res-| sition, les multiples renseignements | que : scolaire du Houvernement : le 4 sestembre | j Jde son frère, Qu'elle acceple à cetle | tons bien convaincu que de nos | dont its ont grand besoin, Gr De, È sf à siluns ft de ai le 43 : Durant ri quelques semaines les occasion les condokéances de toute | jours rien ne. saurait remplacer |. À la veille d'une nouvelle _. n re E Veille. à £ LE mot” pour. notre grand pique- us Réverends Pères Oblats nous ont fa- {la population de {a paroisse! de EE ra i ilaire; il convient de songer à ces. | : en . ous fai- ms ur-tà. la tempéra-| -vorisés de leurs services. A tous. ces |" LE —— Et il est plus que temps de réali- | Vérités essenticlles et pourtänt trop | So“ ss vise pastorale. Les getits are 2 à Fe ans cie £ cs dEvogés apôlres hôus disons un} ‘7 Maison ru ser une vérité: c’est que pour réus- |,souvent oubliées: confirmands, leurs parents, de mom lire ne seu pas mon se = | erand merci du coeur. DEN RS pa + sir dans yne exploitation séricole I—(Le Bulletin des A rieulteurs). sx .. rem enfants «1 paruéssions étaient. Dies le matin, el des nuages RARES Saint-Joseph bete ———— “4 “30 3% août * vémnis «ur Le terrain de l'église pour : 2e $. qui se tiennent au-dessus | Nos félicitations à-AL et Mme Ro-} ‘ .

sales sm Escethègce. Le joveux de nout, toute la journee, ont dé- ger Lemoïhe pour la naissance ‘d'un!

Te catholiques accusent les! ,094.903/bi icycles -°-|" Care dei pays Arangers

se : carillon des trois cloches lui dirent. Couragé mes -aimables visiteurs, «a fils le 10 août. Baptisé le 21 sous les! -. Amiéale: Saint-Joseph à : $ en sous cs canadiens" 7 : ans) qu'aux ak ntours. 0 ait de ver Enr es notre re | noms de Joseph- Fos Dents Perou nom-est l'association des |- Nazis d attaquer 1 Eglise É $ “en France SRE anne Fran nes es | «“ y CES AVONS CONMÉiancEe ns | ranc: ‘ À mi . >: he “a LPS Bo li ni té de Et este dre … | EnPse Tariq M. et Mme Jean- À Em élèves des. Cleres a vi BERLIN — Dans un long réquis}- | PARIS — Un Français sur r cinq | Halgiqne te 0: "10 l'accompagtesient, ainsi que les RL qu'un be. ciel de septeinbre ren- 4 mg qui gr dans css toire dressé lors de la récente as- | est possesseur d'un bicycie, C'est ce: Suisse; js : 2m, : 0 PP. Bernier, SJ et R Dion TINE ra notre invitation plus aftirante. Saint-Pierre-J 5 Ps sa 10e réünion le diman- | semblée des évêques à Fulda, et lu | ! que révèlent les dernières statisti- Tout en ce besu jour respirait. ue Mme Geursés Kenny à demandé | nt-Pierre-Joiys | ds Sel cs tés du haut de la chaire, le clergé Ca- | ques, On compte actuellement 8,094,- : ‘4 air. de fête: une température idéale, de nouveau le concours de son dé- | : pr 2 am es ven d'n ar- tholique allemand a accusé les Na-: 903 bêcanes dâns" out le pays, LE Ro i en sdiril radieux. La mature avec voué comité ef les mêmes Hôonnes”,. Ex famille Joubert lient à remer- | riven a on H. bou ra an zis de vouloir détruire l'Eglise ét!.: PRE E Me LS M CHER - 4% ses mille fleurs. Vos Jacistes préte- choses qu'ém avail préparées pour. Cier de tout coeur pour les sympa | Cependan + Hourgouin déraciner. le christianisme, 11 à de-| . Un vrai polyglotte . NS rent leur comvours pour les décora- more amesement et nas réjouissan- thies reçues à l'occasion du grand. | avait précédés, obligé d'être chez lui mandé de cesser cette ‘lutte contre: DR mb à |

- aux Abattoirs d de e Saint-Boniface

tions: 1 ces seront remises à Süt disposi- deuil causé par la mort si-soudaine | Pour six heures, il avait tenu dans | }3 chrétienté parce qu’elle causait | -PARIS -— Le professeur Hans

A Féglise, après les prières rituel- tion. d'uti de ses membres, Alphonse Jou: ; La Lors ginrne à faire acte | scission ‘chez le ‘peuple allemand. |-Schutz, que la sille de Francfort- | - Hi, 30 soûf les. Le prédicateur, 1 RP. Bernier, Les be née lie La rivière Rouge, mé- bent. : i - LL ; Pons le bonjour au personnel de |. a | sur-le-Mein vient de fêter, parle eou- 1 Bouvillons, jusqu'à 1,050 livres— : AL, ef vies cgeler ce qu'est Lee cn cefle SAison at ancte, n'ont sé À . l'in ataison lens |oulnt ques Sat À Cane bell dors ramiment 290 langues . et: dialectes. | De choix - me 3 7 * Suimie Esfise pour mous. Il mous re- en pendu dr. lcur attrait, .ct notre Aubigny : intérêt le verger où il fallait consta-’ p ,un | D'après- lui, les langues les plus dif- nd FES de avec chaleur ce qu'elle fait. ce trois demeure luujours le même site . |ter de visu lo bosdié à Le de. nouvel essai . cu € sont les dialectes des Indes | Lielgee seserenne ; œu'cile domne à ses enfants: La paix, cochanteur. æ 26 août, o lieu. les funé- | =— et du Caucase. ue | D + le bonheur. de l'ame, de 15 famille. , Endroit délicieux pour passer une Be gp po dé | ge Si ne contribua pas | SALT LAKE CITY — Sir Malcolnr D AE Do dd: MSN ve Bouvilions, au-dessus de 1,050 div. , EL : de ke suriité Le bonheur: du taupe 2e, journée atant, que l'autom- d mpbell. qui : -a..coñduil une

SAINTE-ROSE — Marcel. Hébert, : De choix | De 80.50 — 75

< 15 subitement.-àa l'âge de :76:ans. Il ae Eee +

US, ef cofin quels son ms de De mous TOTrE à Ter cédfiner dans : quit à Sainte-Helèné, comté de ïenfaits au Salut du T. S. “Sacre- “mapite. sur les” pistes. “diese de Montréaf, Prix d'Euro=: x TT = +" F- $ voirs envers Elle. Nous sümes en- mu maisons. À tous nos bons ain e PQ. et vint au Manitoba en | ment qui précéda le traditionnel re- | Bonneville plus vile qu'aucun autre. pe.de TJS, s'est hoyé erf.se baignant | foyens ‘ : 4.50 J smite La bémedicti® du Süimt-Sarre- de bien prendre mote de la date, 4 D © | pas de fainille toujours préparé avec | humain ne l'a jamais fait, reviendræ près de lie de Mai. HN était âgé de | Ordinaires 8350-8400 smrnt dommée par M l'abbé Semci “epPlembre, «1 de se faire pour cette Le service fut chanté par M le | soin par nos zélées religieuses, les | | probablement, dans MU tah, l'autom-. vingt-trois ans. Génisses— : . Les 2sSNtants HE Voulurent quitter OCCasion, moe décision bien agréée. uré Beaudry. Le deuil était conduit | Petites Missionnaires de + Saint- Jo- | ne prochain, mais cette fois POUR ESS |: _ RENE | De choix . Rp Inee 85.75 — 46.00 . ' l'église qu'après svoir entendu leurs de venir mous rendre visité. ner M Nos Chartier. seph. | sayer de battre le récord de vitesse! MOOSE-JAW— Le Conseil de vil- | Bonnes …… 94.75—$5.50 Petits repogsdre aux questions d'exs- Us-chaleureux accueil attend fout Les porteurs éläiem: MM. Alphon-! À la fin du banquet, _M. Godias sur l'eau. Il tentera son expérience le vient d'accorder un contrat pour | | Moyennes rires 8475—84.50 mea de caléchuisee de som Exceilen- + monde. : se, Albert, Adélard'et Lours Hébert, | Brunet, président de FAmic alé, ou- | SUT le lac Salé où le sel contenu dans | la construction d'un canal de 70 Ordinaires «34 #3.00—$3.50

Cyprien Monder., Wifrid Turgeon. | vrit la série des discours: 11 présen- | l'eau, permet à üne embarcation de: milles de Joñgueur, qui devra assu- |

c- . d 4 — La tiaruisse entière eut Le bugleur : Sainte-Agathe e . Le défunt laisse dans le deuil, ou- la les homm:

Veaux engraissés—

de l'AsSociation | ftotter plus facilement. | rer à la ville un “plus d'eau né-! Be choix - - 88.00—89.06 2% dasisier à le messe de Munséismeu: Ltre son épouse, née Julia Mousseau, : aux Clercs de Saint-Viateur, en par- | ( | cessaire. Bons 86.50—$7.50 Tarchevéque dimanche à 7 In 3 Les ; | becs cinq fils: Aimé, Alphonse, Albert :liculier à notre vénérable doyen, lé” * L’Ile de la Folie disparait | PARIS Lee 6 | Moyens : 2. 8800—86.00

se +— queries puits confirmants d'abord Lanfi dernier ML Gabriel Lemoine élard et Louis: quatre filles: Ma- : Très Révéremi Père F.-M. Roberge, : : | —"{} y a eu 699 äns le 26. Yaches— Re ï Qui Spas an dr gym s'éteishait paisiblement à ! hopital rie (Mme © Mondor), Antoinette ;amcign supérieur général de l'insti- . PARIS - Une des îles de’la 1 Ve > panel à ne Luis Bonnes A SE — He spectacle Ge ces petits, vêtus RENE PASEEMER UE | (Mme W. Turgeon), Albina, Soeur | tut, Puis, accom plissant le ministé- Paris. di 1 CORÇONFS-AR ation, saïnt Louis ! Moyennes =... #3.00—8350 ‘+ de bancs, recwdllis. défilent pieu-. de la Miséricorde, muni des derniers Grise à l'hôpital de Saiot-Boniface, re du pasteur = core sa. paroisse, : il oh Lea Pur M0 entrait dans Paris avec les reliques | Ordi ires ‘ *. 8250-4275 £ ; : cnemenss A aprés deux semaines UT ni er jai: rh J paroisse, 11 permettre la ‘construction du nou- rar à nr paires, 2. D £ somcnt zu hanquet divin’ Les ‘anges “eCTEmeRS A apres . à à - 2 pcits: de la vraie croix, qu'il avait ache- ! : L. è ’ de grave maladie supportée avec et Florentine; ‘ainsi que 2 petits- | récila ‘avec les convives quelques veau pont de Surennes, ôn vient de tée l'en Béaud Hi d Taureaux— Sn d du cul léen souvent ont dû envier | - D RS enfants Lui survivent aussi, un frè- | prièrés pour le repos de l'âme de | remb! des b lu fl ni à l'empereur Béauc oin ce} £ 83.25--83.75 Her. où + . beswroup de résigmation chrétien- J y Di | # P emblayer.un des bras du fleuye qu Constantinople, h Dons mé. : #3. s3. persil “as les parsissiens ss re, Juseph el Iroïs soeurs, Adéle ! nos deux associés disparus au cours | séparait ive droite de la Folie. | L | | Otdinai 00 ie be | , me. l'était âcé de 35 2ns. e à k ; < Is pai TS séparait sa rive droite de la Folie. | | Ordinaires ÿ #2.50—83. S'étment fast un devoir de se pendre ! (Mme Descelles). Alphonsine (Mme ! de l'année: M. Fabbé Léopold Denis! Le bras le Sei insi blé ne : _ ; - AT, ; : a eux en ceîte circonstance RER, re on ED lelet ci Zinhirins Sorer et Le NF 7 Voies O.M.I paresse, Seine, ainsi CMD MOSCOU — Le_colonel et Mmé | Bouvillons à engraisser— de Fe nie + : … Bertheletles € Æ n 0€! ! e Hi. P. L : UME | F : . > A 16h Les cloches s'ébrsolèrmt 2e Emnlienne Joial, deux jeunes : on 1 äfnt-Vi- Lé RP u _ se : était darge de huit à dix mètres sur | Charles Lindbergh ont quitté Mos- PORR hs x #4.00-—85.00 ; a M, Grise au Sanalorium de Säint-Vi Æ FR. P. Denis, directeur, souhai- : üne vingtaine de mètres de long! M 2 : 75 } 2 de mouvezn Efles snvitaient Le foule fs. Louis et Lucien: ses parents M. tai. * la la bienvenue aux chers anciens seulement: L'Île de la Polie: qui tire | ‘°" däns leur avion pour une envo- | Moyers 83.25-83.75 4 à vomir s'unir au din sacrifice cé *? Mme Joseph Lemoine, quatre il à recu in erand nom- et exprima le regret que 4ous ont son non d' Mi he de plai- | lée ‘qui les conduira dans le sud de ! Ordinaires 82.50—83,00 - “+, bébere par un enfant de ls paroisse. urs. Thkrèse (Mme . Richard = Eee ithie. 'exnrimé ; 5: à Dry ; : PNstrocton de F {la Russie, en Crimée et dans-#te Vaches et gas à engraisser — ë Pr bre de temmignages de sxmpathie. ‘exprimé au départ du Pére C.-H. Le- sance du dix-huit à siécle, “une ; ; + he PR Enom O'ME -gdors em Most. Biliane, Mine «1 Annette; |” : —, + + di re -dllaige Lara a Poule Caucase. / Bonnes ...:…........ 983.25 8375 F RO dre vé- ustre frères: Alexandre, Raymond, : - sage, direcieur-fondateur ‘de lAsso- folie” d'un riche’ gentilhomme, cest | 04h 0 —— | Moyennes Lu. 82.50—83.00 vacamces dums 52 fimuile Notre vé- ‘ La famille Hébert remercie tous ciätian. mainfenant réunie au territoire ‘de! : SIOYENRES … sr. . J : ; hé Pére Car” ausist tte Maurice et Gérard. - pui ! Sn ot + L NE * e | Urè | Ordinaires . …. 82.00—82.25 | mer sb. Tr mere mssista à cett A . _ . ceux qui Jui ont Jonné des marque Il y aurait profit pour les lecteurs Bagatelle élève : ég: gène calcule » - sr E er" Les funérailles surent’ lieu jeudi agalelle où. s'élève ‘également le; Vaches laitières * 825.00—8#45.00 srse sobemmeile malgré se guarais- = | » ide svr mpathic. de traduire intégralement ici les dis- Petit Château, propriété de La ville pos cie LE à ' y lue Pr < rsisinate: Sun Facelles Mer de 25 au milieu d'un grand con- | * u, sde ? Ugène à réfléchi longuement: Puis Ve de boucberi D aabacpereei n Encrrare 9 e . cours du R. P. ‘Roberge, du Major | de Paris, où la munici lité reçut | ; ÿ °C: eaux cherie— Vee zsistat Arès La Cours de parents et d'amis. venus de 3.-C: Lavoie et de M. Camill ‘Four- , a pa ec il soumet à son ami Gontran le cal- | Bons et de choix #7.00—84.00 : HN, 2 dombreusts paruisses: ‘Saint- Bonifa> Saint-L: Lazare Te 'LEVUe.e de Ame SOUr- les Souverains britanniques lors de cul suivant: k * | Ordi 5 4 pee de nouveau . Lier, ces pe rsonnes. aux convictions leur voyage en France. — W | Ordinaires et moyens 950-654 mpessa Ds germe E mogs . Saint- Vital, Witniges , Saint-Nor- ù cran es 1 .—Suppose que nous nous marions | \ : : mrif : co Tés Lee CE SR NOR CT BGREET- Fe 7 FT w: IS MRC ON TUE eux, Térait dix pe —Porcs= SNS à. ce Œœue Le Saint-Fyrit fait em lame maps ne eushes endänt ss retraite BTE A te. Le "rs pari n'ont pas peu con- sé äctuell tles t t DNS EUX, CIS TOFRR UX pe FEGONeS | ! Bacon de thoiz—Prime “ par te me bone: «et pe crticutiéresnit Saint Pierre. Otterturar. Sainte- bien voulu < nvover au milieu de tribué-à resserrer les lions-de Cr pousse e ac ue eme n . ravaux, es | de plus sé tufoyant. Bacon < = = : 3 pins Lie Leti. dl Acilue r, Ssint-Je n-H ‘M s » > Her- 3 é Sr sù es iné à remplacer e por cons- à + — {24 niment? dans La cobfirensticn 1 aggavs ur ë &” + Late " " sk ani vous, Sn frère, le KR. P. Aimé Ber lternéile amitié enire les membres | truit à une die cie mes: | #n nent? à ! Bouchers—Eseompte de Si pat rw tout sur Es force qu'il diane et qui is. Morris. Saint-Antoine, el. trand, SJ. du Collège de Saint-Bo- de l'associali Lu ñ . % 4 . | C'est bien simple: Toi et ta fem- | Pesants £8.50 l'héss : Le deuil etait conduit par M. An- | niface. Hi nous fit plaisir-de revoir! 4e ?°S0ctaNon pendant ces heures 14, 1875, mais ne répondant plus aux | ne, deux, moi et ina femme, quatre; #4.00 L . - Pass _— pute S . ..dintime toptact . soi paifi 4 e y AUAres | Trés Desants : tonio Lemuine, Les porteurs étaient! 3 nouveau ce digne Père si tén et À vies ; besoins du trafic. si intense dens Lé et 88.75-—#9,00 : MM Moger Lemoine, Adélard La- dév: Ne lui. souhaitons sin- ! Yant l'élection du nouvéau con- | cette partie de la périphérie parie | À Ars € maigres #4 ‘ PEN ONE. SOUS UE SAN ORS SE! ei, ik été ‘adopté à l'unanimité | Teubs No Dre ee betir, Henri Fontaine, Gérard Go- cèrement de nouveaux séjours parmi Frethulhe-t Feet. Aoue-2 siénne, d'où partent les grandes rou- | g ‘ ; | ; : beil, Adolphe Saint-Onge et Hormis | jous LEE Var l'assemblée qué 14 réunion an-'tes vers la Norniañdie et la Breta- | ! Froes-Ne.3 # de Aout > 8" Se nuelk aura lieu ‘dorénavant le-2e gne. 1 | e. SP CIAL 3 | Inférieures - 8540—85.50 ( | Lis le de Caps fist faite par ke Notre troke ttsænt devenpe trop dimanche de seplembre. - + — . | . | Verrats ESS LS 5 £ tel votre CREME _H nr 1 os OL beau-frère du petite par le ne re toujodrs aug- RE. Pr ah ntm mr À La France construira un A Valeur de $125 pour 250 En " D 1 » . fcfumt. Le service fut chanté par M mentan! de nos élèves, on jugea à CRRRÈRE e, à | Un portrait de 8x10 | s MAYeRS 40 4 a | CRESCENT 2e déré IL-R Bern té dé RAR: :pr de Se ln nude la ee dent: M. 1-A. Desjardins, vice-pré-| paquebot de 100,000 tonnes | UN SEUL PAR PERSONNE Bons pesants …—" 86400960, a : a à. pp 1 lore AM Le Jovi DETTE évite de réel TR ous à sident:"AL Jules Demers, secrétaire; | | ; Décou etle annonce et téi8- M! Ordinaires ! #4.50—85,50 L de D FR cs Siomct_ ’ ratios déià fait n Abe M. J.-H.-N. Léveillé, trésorier; MM. PARIS — La France-entreprendra Phonez-nous our un rendes-veus Moutons— - ; ee 2 vins ETS stiesis D Re ! » L.-A. Farley, Major J.-C. Lavoie, J.- ientôt la construction d'un super- Cette offre est name je jusqu'à | Bons moyens” … 8250-8275 lLametmomt des lamsses-messes m a - ' , Î L PER . Rep mn per nr er + pour ke L A La Rocque, Hoger Lemire, LH, paquebot, plus gros encore que la Î ven ven serve, Téléphone 88 043 | Bons pesants _.! #800H370 - RARES ERP emes des che Pour D er se EE de ai en chantier peut Studio D ornurs 2 #15 80 Nc amer .. EE [es mire de" 100200" Vogaes.: qui © PRODUITS A a vou : ÿ : Li Sacoche perdue "| portera. vraisemblablement le nom ! 290, Avenue du Portage Assistaient au chweur. M l'ail Nous sommes heureux de “et eu | Æube ihristne nenvinre: ln Drats- (Près éù Théâtre Lyceum) | Beurre de Crèmerie frais n6 4 UC. Forest. le KP. Desrosiers CSV. parmi noùs Kévérende Soeur Anato-! On a trouvé dans notre chapelle ste sn le Does _ série H. POIRIER, Prop : 'F.0.B; Winnipeg, Gros 31% Pümterbqurme Me FR Ps: Lafaille, le-Marie, une de nos. anciennes et :le soir du pélerinage une sacoche. dr ve à “à u | … Oeufs :: 7 Frère A. Joval, ML" bonnes mairesses. Nobs lui sou-: La ‘personne. à qui plle appartient | > | D'après la elissification du fut { par Puf Len haitons a plus cordiale bienvenece pouree la réclamer chez le portier. gouvernement statues Ï » = st Coms Jens | * ne le ru ne de 2 maison. - D. + f pre | Grade À, gros, la dousz. :. … 20 TRE — SN SEEN -— FE RSE— Ses - ps + : 4 - Z . L Er +. RE eg — 7 Es : Di | Grade- À, moyens, fa dons Lu Le he me - br m tte: ti aurreur : Cai 2 e : ‘ : : a PR À à aa das à men due Les catholiques au Mexique | a M Li nues D sr ax br vit relomiaine, | 1 % » : - | Grade €, la dou. Fr , “ ’ Lassadre : Hernies Men | dtms 2 tie ch Lg du cimetière, : AR ny Es à: , d RL Me rh te à . E ds DE ri ï. Lola 1 mes ‘Les pe = de notre re: |, MEXICO — L'évêque de Chiapas, . Pommes ‘de terre 21 RE LE Ta " use — H srené ét Lbôn çuré M. l'abbé À Des- Mer. Gérardo Anaya. y-Diez. de Bo- x * » |! Du Manitoba, - Pons «cet d Dune R 1 Ti p m0 En 1 me ‘ Fa — nills' à communiqué à un côrres- Comparnie sa Sac de: 90 livres Mt A :: En pe " "« " io . he WA rs gp " 2. 2 ‘#4 pondant " de a. NCWC News Fariné== : . tamis de Lu € mle-tasat ct ar- : 1e à “e —— - = x D AL et Mine Fortunat: Chartier nons | had qu'en Cone e de F à et ——— ——— — sont reveaus de leur voyage de no- | CAIABSS où +eKbrail dé nouveau | Léartiérs en Grains ES ets dame l'Onterii: ; des offices religieux. Les catholi- È i S - EN : [ques sont satisfaits de la tolérance

Maison” établie en 1925 pat des capitaux cangdiens-français.

“Mune Jés. Piante, né Dénalils Pres. | 2ctuËtie, qui ne correspond pas à .

jun état de- droit, mais de fait. En { plusieurs églises, les offices sont

| Cétébrés par des prétres qui ste sont | pas reconnus officitilefent par TE-” tat. Is ne ‘toit ‘néantheins pas in- quiétés. L'évêqie réside encore purs | ki capitale fédérale, mais il espère} | pouvoir Lieptôt réiotiger sa réf | l

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Sai At 8 4e M itoù : | Déigé par les Soeurs de ls Charité (Séeurs Grises)

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Références: La Banque. Canadienne Nationale

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Les faits remet terre. et alors Les Mumains mé peur de l'eut CN | es he 5 oeil ee … Mois eu comerxle Maftrage pur | Ques peut poevesr pur es vont Dies vous Les Chers. gi ie E smgint dns es. canchesiars. se | be jeun oreilles et sélamce vers ES D age ct ke somted [Pistes lex faits ammmanis Bus sant | Lex dnpuensment à Veci ou on slrie | ns prestement: On me se lève pus-suns: Lex ef-sait Matin? ‘jour. Voillh Les siqgues diuns bre éteë- | es 5 ; permission em chasse” Petits et œrus | Toutes les étoiles vosaent cé Les £ :# Te bee 5 poissons peuvent maintenant faëre ie er soleil dans Vespere. ef ces- |. als Les phémomèmes de sue- À 7 à mie D rt durite. fre. Dans Là sgerre | je feu et ià fumée. le moustri hat | nina? Neët bénie pour Le petit pas | tn Fame able chotiue a- F per RE venir dle-sa toncifante histoire et sa pure « 2 Cr! Comme un chui speuré.. lenfsnt| et Oscar: un act rassssier Dame recucvemf des ce ul bre à Re n : mémoire est en vénération dans} if. #007vR, des pis fie D Lula prestement dons l'arbre le | ee suet tout r= he, Fatgumisné ber tntdie. ce qi cup | rer ET - © _éetle contrée. se _ SOUCS FARES SACS el oies proche pour sauver sa vie. Ce poser. 3 ' Du Pages fume prhe-mlar vu Lara + pou , La conversion de Censorinns en-) the religieuse. Quelle efflorescen- | D Le chévres durent retrouver | Mais ln ji = us . ce 5 L'iateneer 2.6 SRE : trés ville dn et de ln * trains celle de -onte millé pañers. ædmirible et contiauelle de: de- de bander HE ‘lens 7°: 5: pote ne fut pas . mé-}| Un matin Le viens page vient 3 La de En terre. _Sappesons , Devve, elle s'élañgmermi vite de mêre . s re Dur de 08 ! see M flan ER se séparer- le! Mason récimker sen eufbnt. D'un: Que Es Dane suive à Le Eance de LS seème phmitanre. I ee ne punir re ue _” | D MT Re plier bagage et retourner | tom hypocrile parle de ses che-:28 Een de 69 ravems terrestres Les, Ne Dors des juurs de Le détreme ,- Le dori Ù D Poélire at lues petit à à pr à d Poste. ë | veux Blues, de s00 mibque erçon, | marées tarieraient de 6 à 08 md | hamsine seraèmt Emi ef abrégé. ronnée por le martyre. Des hérêti- Î les génies me sont] fire La rss? Oscar demande aan dE scene. D paie Lentrur sœrcant Les lncallés On cut avec qu'elle Euriité Les faits ques inquiets de son ardeur à dé- ; HN senmhordif sn) ,uviomement des Eur de Le mère et Le grues) gran Les habetemts des parties "2séremmigus coms peut es . fendre l'intégrité de 12 Foïle meur- | comme les enfonts|. -_p avant dix à chuerie de Es petlle soeur reshée Masss les bles peuplées des confs- : Piquer tous les plmeanimes précé- # firent de si n : } ST ET En re Durs. mon petit | toute seule à Es se réfes les ments sés dus rs récits de saint Lac ef qu'il mourut des suites de cette à- H de la motecyclette 1 alsence- = + DS tra corn honte LÀ Mofies dr Le Se de mes- _ des Gus ER | : are ee sens . nous me favous pas volé ton enfant | nées icné resses- | de. . dard. l'ensevelit à Blondain en L'allesr be Mutmabe tr: ponlerer oi pa un pong | Lirement ‘te LS = donné Fleïmts. Le, “A qulques mnés de La fn du Audrat or Bis te de T _ É res tres > k Le H qu'a punsse devenir enfant de LRO -: Les inomsmes gpomnnamt "mai réèvendiquêt Fhonneur de + épingle. de ‘mourrire. _—bis ! Père. c'est bien lon | Dies 2 di se ssaer de et. obscures voër appeecher ame éteile di de és me ses Le de S te comme Fa faim de re- | puterséile poux Ssaegender sp foi | raiemf poussières vob scrmileur éurwane juugu'alars. Minis ; sus a gs | L Pi m9 on CR cevoër Je | encere ñ Ye promets mimiemet de me ; , : Un sciemre phienme ms sut auogem ; que ; _ |'oasacre ; gore ie que ter Oscar franchit le seuil de La mai- | le molester. mis je wa Guère | _ Le ns serment échappé de comte œnnd 0 pésurs à Me T.septembre — Saint Cloud, ssériurde corporelle et spirituel |. s RES page “som puiermelle. une belle croix de fiamce dus tes promesses Je vas Boës serxient vi volante déyine. de lune sur mûre < " Rp = 4 sèré ô : un, f “+. nickel sur sh poitrine d'ébène, Ue decimier brülsntés ef des route leloet qui extra fn à Le sie .3 T° «Saint Codes. plus conne sous PAP RE re Îles Gemies dé là forèt. Ils me pou- te de os te Oscar blnëti di Es femë jcnloté nn | int. C tai Li Arrétonsnous quelques istants : vai bai mure: ils m'exi dfficahés, Je vieux père paien gout, Oscar Bin dessous Es femitre où cer de cruise 2-ségméasement | éra be Ro More mere" r si = Mur cumounmèuté de La Vénérabie ! méme Las rh eee - consenti 2e boptème de som fils 1 2 eotemés Là regle de s0® pere. enxmime ef constaté qu'il allant trop Opéra a canadien pr

Mère d'Youville surdommee Ha fer-'te mon pas aux 2rhres et aux cars mmuss fl se faisait fort avoir vite. Celmsci à seor tour. peut sassar Es ve «4 qu'é m'a pu éiter le coché |: MONTREAL Æ Le = |

temps après 13 mori de 108 père. raisoû d'un bambée de dix ans Est- répouse

-— sés-déux frères fiarent imimokes par, “tte £'lotssce de la dévotion 2m Se deaux, mais 2m Seigneur et. Créa-

un re ref vur quelle fé Er bebe teur me _ ce qu'us lion hérisse ses poils de- ! “Non” des oncles barhares, et Clods!d : gore Kemg-a $ teur de toutes choses. S = chez à " y E . DE de Wrsoger. Grace actutileonrmt à à . = + : : E mt on souricesæ* - moi Oe moblwcuk 2 faire » frame. Les ai - | s'échappa Jjue par miracle à ce ms- ferile rriigieuse. Î Pour en apprendre divantssr ur _ ss " = LE - Les aies et rodlafeur fs préparation ‘d'un egére sur Je-

sacre. Il renonca dés lors à la ro- Marie-flsrgmerjte Dufrest de. Lz- ce sat Aie décids d'assister mx Le bem 2m ke pére prépare. En: nee pres. Je re LE de is Ford Soi casses Dour 2UT | sepih Qursmwel pote ef niches. LL . æ Ÿ _yauté en se coupant les cheveux et. ecmemerais maquit à Varennes en classes de caféchisme su village sacrifice paiee et donne ordre 3 7 tar VMÉ SM DEEE. S'éloèsmer : «venise me ss bee coche qui éftail | Lapierre “ponte” cet epére aver JL : ï -{ ne voulut point. dies la iuite. pro- 1367. Elle étant l'ainée dune famile | Mais comment faire? Depuis la: fs d'attraper um poule qu'en &r- Bapenens. courbe sur s00 bclem de “me ruse 2 ka veille d'ucuis des PE Albest. Roberval is sait que Je- ds do crisis qui se préses- de six enfants. À l'age de six am. pointe du jour jusqu'a coucher de oolers aux esprits. Oscar courut si; "era. bimmile ef peulemdiaemt fs mu à soft eme begs par ssh Ourneet en. de “he” promis.

: taient de recouvrer son trône Re- etle eut là douleur de penire som! suleit 5 doit vesiler sur Les chèvres fort 2pe es La poule que som élan le peine. Coume D sursi sonde De fre dé savon: be a mA Lantidhes est mé à Srist-Mahe et qu'il +; LT EPS tirer dans un ermitsge aux portes Mén-simé père (CIM). En 1722 ete) îe Son père. Quand on veut, où conduisit pesqu'a là montsgne. & SINÉeT 2@ co ef repremére poses. Les mures ouf contracté des éume-| mot à Mristréal. em ES EN € Me; F+#* de Paris, il véeut quelque temps unit sa destinée à un sentilhmmne. peut! À Te isa coachs pour me -pas prendre | versent 2er dei Le chemin de Ru lné- roms de ce. vosaer de mnces que Vinteur de lAndonrmie = ke + ss —_ |: saprès dut pieux cémobite qui le re-! Veuve en 1539, elle me landé pas 3! © Habüles stranssimes part aux cérémonies pasrmmes. Pre- le paternelle. où Fatlemdent Sa vai lrers enfants se smevimérent : LL 2 * F _ vétit de Mhahit religieux et Minitis Saltacher aux biens impérissables | Le berger à d mère défaite pour ke-vicux pañen le mére ct se grmtsle prise semer ER "1 ENTRER DS _— ar , L petit héveer à plus d'un tour rd pré Ce Mais 3 ls d Le a s : ; à la vie comtemplative. Mais cetle L'agmée 1555 La verra fondée Pad. ! 4e son to. Un matin 5! donne qne 9 Res Peu ec es me NE se .. Le meuner des:“Eettres 1S : re ; "> à L PRE rs et, Fa : à FE _, soirs Ori recit une SE: et dus entre bus ef tout ces Le coeur bei- à ; 5 ! retraite lui paraissant trop douce 1 mirafte cemsrégitios des Soeurs ei Poeme de pistaches tlout sum di se cocher sos F maté Misler ae is be se " 4, s'éloigna des personnes de s1 con- Charié. de: Sreurs Grises Cest. 7 *à un comarzde pour qu'il zar- Er - nb mtat. ; fe mor mou | he

ti . = à si | | courage enfant aexeye Es ségu- LL | . maissénce pour se réfugier dans une }. prems-r emtilut sorti du soi c>-!de des chèqres jusqu'en es Vie.” Deux mors durant le jeune mes En fon … ; “ : solitude de la: Provence. | UN En LOL prés ame sarl ratre fois ol lanre un defi à um Plyte défend sa foi Chaque die EUR 6 SOS CRE en Re et, A Fige de Same, vient de men | Tondis que de ses propres WS plie d'œuvr-s et de ‘mérites. Mèr: | 2 ; Ce ra est le premier arrivé à ls L a . | Ter em Asscmce Le pére Eiles. 2006) LE FRENEPTE DE LA MESSE — il se construisail une cabane, Un {'Yogvile remdit le dermier sous. — Tu vois ce roneau” Je te défie chapelle de Es sarcursale. H emtemd Le puis checaler 2 vols de Le fomlrement Eibet qui état Le IMMANCRES ET FETES — SEUX

malheureus-se présente à lni | Le ke femdre d'un coup de Se. péeusrerciet La messe, reçoit le pain ::F-peux ir devantsge caroce de sem devez dés meumers de Fontuiwile. | |

religieux n'avait, hélas! mi oc! ni !2 mort. pour elle. était ua puis.” Er l'enjeu” a des forts ct retourne au combot | nc Sum se ler Scuerager por ct qu fut “avant ke guerre”, comm | es de mg among

argent à sa disposition Levant”les Pour institut, la mort << 52 fomd>- _Re perdit srira seul les POUT dme' autre semaine. S2us souf-, Le Rotum oi 2 sppens à serveur Le is 1 sat c'est-à-dire 2vamf Es œuerte n'est sisi sat Le Surrilure de

Veux au ciel dons un muet appel, ice fat une: surcmee de survie: js troupeaux " fler moi à personte de En-lutte qu'if Se. Cluque matin, plus peës de peé-'de ER Le confident d'Alphonse!h, Mise pie one lui, uns lEs- . “il les abaisse aussitôt ser sà cucutle 2% foul-il pas que Es -cewmre lombe | j, défi est sccepté Les deux en 2 2 sosienir à Le manon à tre qu celebre Les dvi Mysteses Docs qui écrivat alors, à lom- choristie suis Ms pions Au jm «

- + + ‘ans le sillon et qu'elle y meure a do 5 a. % g , ; Ü peut efrowr sur Le guièe dec bee de : ; F Er pour s'en dépomiller à l'instant mé- Lie : fants se rangent côte à côle. Là ja Un dimanche <e passa cepemdant “ P° ' mms dot Les aules four- ct de vin Noëre-Seigueur lé s< me en faveur. du mendipnt. Cene Pour poster du fruit. Depuis plus pe cumber- le torre em zvept, loeil sans qu'ibscar ait recu so Jésus Tofiramdke de sa soufre poules. muwct sur Le cotes de Fontuieille. 445 contemm ét lest et

« à F z. ave H { + . c- - e ET , est coga”. L * charité loucha le coeur de Dieu qu: md ut burn pas Les Ve ner | biræ fine. Les deux flics partent lasse ‘= msg Deus. fes scalters jus gere le ler ap her ne mn Son L'Eglise rocade “% bus CEUX | mé Je fÉcoMpEnsA ar me. Li anal «2e dienne. : ensemble: le rosr- c Has Les use. ls espèrent enesTees A z FT : ‘ ; | chorar) diaues purher + nuit suivante le vêtement dexint be- RS Er PORx PP Fes Sa a a ce _ — ET — a Te sai à : m2 nr = à | mineux enîre les mains du pauvre... 7" É mis ses Filles : — trie a volé droit 2u but, Encore une pérhant he recevuer ce pain rvste- m'ébvurz pas des ses Deus pire Edet, sas boxer avec: plsquer ds y nd DE | = —Sfireué-des houneurs que lui at-° fidèles de La croix —— reproduisent: Le de Hhériseser Fissanlet k rieux qui lai: donne aus d'epri ns le paie ete vie que chan mes Dimfés que ÿ mameusraës les gives dem aa * |‘tre cette merveille. le saint aban, | Ne Verte el Pobrmivent 4pa aps) Les piiaches vienmenteiles à Pour etui Les sage où mes de; GENS COURS 08 ee en de mn armées ds peurs et dde es fruits. d'enmeter le page churé- Le. ma 1: ence et retesrme dans " : ; TT Lo traquer. ke def «de lhabile e pour leur resister ogverte | # e : un voir La Escité Sum 2 y assister ciaugue four et à les environs de Paris, où à fonda). En-.18Mi VilüpitalGéméral de est-il refusé, Altulé. en désespoir de ment Le diable va avoër le desies Camille LAFRANCE, PR fsgouremte avec logueile Ÿe fsisnis y» communger sect”: Us des lus = : un monastère flurissatt qui priti Montrési comments à estaimer: à came, veail sou SU d'honneur. Le si le beave petit chevalier né frappe PS La Missos Procmeisle des "2"T Des aies monîées sur des. de rérent.Camgrés Encharntique Du |: dns la suite lé nous de Saint-Cloud. . Sunt-Hsacinthe, tout d'abord. à ON- droit d'honneur: c'est ka defnière Pas un grand coup de sabee... Pères Elias. Massoamuges d'Al. de sapte de 5 metres de D Notiomul était précisant de mieux pese 4 [taws emnite. cn 1865: à Québec, en chose qu'us enfant Gurunga met ke - =" _@u. eût à M Cha SaintoFes. Peer les placer Eee 28 il. fire coungeremêre @ precegte de km ir - < # = s à "à .. - d , + ji fé Le F Cia : : E- . LB __ Le Mstivité Le Malhor et, en 1886- à Phits | gage Cet comme pour um Pess- Ce grand coup. Osrar veut Le due- Québec cree Cest que je les : s tous les messe. Effucçques-mems dur de ré- —e.— bre @: deïphie en ES et à Pezmbroke en- Rogge de parier sa cÉevelure. .. mer. La mail suivante à s'échuppe de : : _iweats. Ie disass-ze acer d'au poobre jrs désirs de Es same Est __.e la Très Sainte -Ms rss, 7 7 5 Ceiet qui ete Son drift bon Los regarder derrière ini’ . | mt ie Grand Levamtase, Qué vient se. compresens Méux mûre demi Vierve Marie Juscoms Varbre à'ses fruits en je-!meur <omsest à se’ kaiñser insulter … à. BEr que le cour :'2 li most Les “Intellectuels & TEu E «x role qu + ts pourras 1uTS muet dÂmer- ME at tant un coug d'oeil rapèle sur des! impuntment un certain nombre de D Le matin Hasme- Le er fan “Maece-Fangs. Le “MangeMoue” ser «y Dréceghe. Ne .% Er aa [a dcentes statistiques Virics du Ca-)fuis léen specifié dans le cogtrat. re. avi 2 com ‘à b a le | ! se . : | qui drvere tot et qu m'2 cassé les: x CE Nati se g < > jour de la nul, ecviésianiique 133% | Cç'snir Attelé 2 encaissé CIDY DOS veut enrouler si trade pe rt Notre coefrère LEche de Gus-siles Fam dernier! * La EE 4 +. Nativité de Marie: "Votre maisssn | Ci Grises de Momtr=al sises inqures Ses petits Donges se SR prouve Sims de murs ce Séint-lsmrent publ sous Ef sms: ui est le vent qe sous pe! er - ee, & V mére de Dieu, semplit 3 : LE = trouve quelque chose de roulé em a : - a … ORPHELIXATS DAS bn ‘+ ‘le moide rm ad e dt d'ail professes, 67 établies -eu: 2” !, Jerismes, tout sen Corps a’ frs‘ olioaçon dans un coËx de Le mat- ju de JE CE asmisanée manpé DE ee ‘": AES MESSRESS | | ru du à he D : dat ‘es ‘les bévr Er BE cb Te a Eu rrescondamt 5 Re Srsu . 1 … w grèsse parce que lé soleil de justice! Soeurs Grises de Curie Loi FPE roi nu me e. Est-ce mn serpélt Non, cest pee + qu est Fespressie ETS ne Le sun des cuplhèlims est em dem ‘ Aéses-Christ, votre Ditu.. est né dc y Professes. 6 caabère-< cui: | al aire d sert pe hs sh ui Botre avi Oscar. FT -—0r-1-mitler de jommelte ei! Celui our je rise. Pur-gre us Déucnls mnivems d'apmatelialt . és er< : ou Gé. Buséct s — _. “ Moi. 159 )E Misiomnsire parler de Dieu : ; ven agro que <arepe. de la per-: sè E. 5 affre parfnës des ecæ- sem, des dunes... Fins à qua Ets purs de Far Ping d En ME . meme. rabbe Rupert, que | professes, IDE chaire “s 6 5 sh nsf … Sécehson qui soaiire 2 La aise. CREME EU RE Loioser somfiies et Se DÉé se mate ur © cmt ste OUR De _: Fasrore, annonce la fin de la mu. Soeurs Grises de S:fet-Hy-cinthe : hearts ses Ga ie g sn Père comme sr réoRte rends date ‘int see RE É | sets mavaté me pène né mère, “# + 4 ainsi la nuistance de Marie 2 êté ln! 252 professs. 72 ét 4 mis: | Arrive. ke préges se _— sple-. viterr. Le Mstiocmaire ne fat pas , "(On en géfers Tu Ds vf ingennét : | sy Durs Das samû euros de cercie | |. . fin de nos maux et le commmenct- Sous Crises dé Ni en me À", Æsrdtinen san. Does etomec d'une telle demande sachant méeus LE: seveur 0 le Dssqt à lpste | —n-e—i— ms Some . cité CE chrétien 0. eat de Fesper ame - Sri DEA | AE = E - de cs que jies remis : ruëxt M RE ste Q - me cenl Le religion caalique aime ‘© ï dis de Siene né Marie 77700 #5 EnRnSeEnes + Christ par les oeuvres ‘de charit, pulens fout de. Le ; n urbx avis done DS ue: ae eu ee St À » sg) premere naitentie. ut. Jours. Grées de. Manmaculér) ginimir et copéttte. : LU réjouissait méme de le voér.surtir! she de role Fa a y AE =: méme, dun certuimés ségems, le. ‘4. De ‘one science ni claire el si Déc“ tiran (one 2 Mieirites MI pre-10 desce Marguerite douille, dame since dangregue pour lg «i poisible. Cest demumelhe sos; En viser Ctaët monté dans um es pis Qué Leu ques. | jte quelle comaissail parfaitement |" Le greg VE D fleur d'immertelle beanté. Si 7. “ Lt ©" 0e Foomne dés nuclis quiet auto | Compartiment de fomeans dun train ess PS pe y + les créatures et ke Créaleur, 6! saint Sont PRES Se CD | Fseiriez-cems en ce monde frasile, V,Ees débeñs dns ER carvière d'Hk en vor & mas à rezserss 7 sranée amies est" formes, | ; qua guess Zeb Er È 13 gendesses, 15 éts-| À rasenner per notre: chorité. mermilée me furet pus briüllorts : en iuist: em éochom qu cote eux pavranmes pes habitigéés sms): PE Enems Fen À : . a i HR ‘17 Ne convient-il Pas en cetle ane Durant lartson de .trices E A Fe. deux mauvendn marbes Qui se sut rente En sinrent-siantss-| PTS as plus. de FAR en æ Les Ssurs Crises she-Mçgatrent semis de DELVEdUE =. CENTE.- Osrar doit, dilgewr 5 f de trugves sans desass desseus à rame Der es Ævve de Has. D fm. Les Fiaes d Was ce munèee m'est jus en {à . vis | dévouent dans 32 inissions siutages |! XAIRE DE LA FOUNDATION (1738: r. Ce mlatls le Missom d'até poiche quan Lar : " T's arommunlees pese sénat. 6 susent des ms : _ l'Ehnesé ce pere Me LAbeS. Pre mmTes Soeurs Crises à Moat- suire est tem ges sem 21e Île mots et qui =. ES trhatés ; Le Yaéeur : dau, rever henemt Le arr. page » >” DANGER, de remurees, RSR Een | QUE en DES ni en ins em ee ne Re ee | js x mn ‘ces 6 "1, t 1) 4 , ver : = » Fr; E EU Le » « ÿ Le « roller. CARAPRRR mes ri ÿ 4 - pe + laws Moissomment à La Baie James! roïques ces ‘fexumes-aplitres, pour dxpens, deux fours U | Le hill d Tito Pustènis n'étes-voms. pas rh er An PMR — RER CNE: * hav 7h see “sd dé ins reed Sa : É r de am qui Papas m'eies-toms: peus ments De à ne ee DU js dans lé Bosutolami. celles de St-! avoir coitaue peglant deux we- est qu'il à terminé La veille ame était bas Foi qui avai Le pls- da. = cnmpartinent de ES. gr ns Po 1 ane à 4 . vaciathe, su Keewañin ef celles de cies L: realisation des projets si belle gramde cheminée: L première sseurs cage quant l'accident m'apus emles" e ©: 1 des doc que des arplwänats cafe

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iChs Leur zéte apostolique : , A | toamrontts bes Indisies ne vwa- ke : x 1 TR Loucrrés ; - : £ — Le me iË < - Kotrement Blessés Suns Tatrét d'un récutient else - Nous y. z à > ; ré 1 portout la bonne | , NY. ils “tué: me - « p 69 d CR BOT «+ «en courses de ” 8 Nu LE durs ‘ à GES 7 oi a | “ te ou À 1 ir 4 mt POUR ES x ÿ PA < ; CN 4 "M » fs à. ? — " mess — CE En LS né

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a un cou assez allongé, qui l'empé-

de rentrer sa tête sous la cara- Dmee, pour la’ mettre à l'abri, D’ail- leurs, gette carapace n'est pas for- mée de grosses écailles accolées: c'est plutôt une sorte de peau dur- cie, mais pourtant moins ferme que la maison de la tortue terrestre; aussi la tortue du, Nil partage avec d'autres du même genre le nom de tortue molle. bus VE

Auîre particuliarité: les pattes ne

cour et de säigner un poulet. Com- me les mangoustes vivent eñ liberté et ont trouvé à la Martinique un Ælimat et des conditions dé vie avan- lageux, ællés se sont multipliées, et les dégâts qu'elles causent sont, en définitive, supérieurs à ceux que

les rats commetiaient. Ce que voyant; on a décidé de

= = A Les carharades de Gustave obéi- de , ei dit d'une vai rent, subjugués’ par l'ascendant de Lis: ® ae Svèt ‘1 Lucie et, ut-être aussi, enchant

ne 1e Ven veus [que votre d'en Mi se un divertissement dont ils commençaiént à ‘ressentir les fâcheux effets... £

Seul, Gustave tint bon, déclarant à sa soeur qu'elle se mélait de ce qui ne-la regardait pas. Sur un ges- te qu’elle fit pour s'emparer du ci- gare, il lui envoya la fumée au nez et se sauva, en la mettant au défi de l’attraper. à peuvent servir à marcher: elles sont n'essaierai seulement pas,| constituées uniquement pour la_na- e. Si tu veux être malade, c'est | 8e, et les doigts sont palmés. Les

ETOTIPES SN

et ils. diner. tércat nésn. -: Dans une dou- L Pour zaine de « batron de ÿ té” hi. ue : l'hôtel avec anirnation spéciale, appelxe troyonix égyptien re, RE En ces ap ‘bout d'un ins- bb. #9) 0 leur dit-elle sir + pond drag rap on les | menu. Seul ‘ Do es l'un des 2 ni se méla + bobé: dons pro gard promesses de | autres tortues d'eau, une carapace con nf muntra met menu, ds: sd sage Le RE kel oi ge gr sagesse. Jetez à l'instant-ces ciga- | beaucoup moins bombée que les tor- 4, rs TINTORSNS dns Le bone. + à ditil, mais je po pros Léon trouva la femme de l'au- pe à ‘ lues terrestres, Mais, en plus, elle , es ROUEN jamais rien. vu

tant. Je ne Sais pas ce qu'il er ul vient de montér sur la table, À agite ses bras sans mot dire. I! à l'air

"ENITIAA Een

EL 4 Re ? : qu he que-mt = mc L tres." IT: il Laine mir: — AT - ne

ent.

à ; eg 4 D CE 1lon: touruent sur n es-mêrmes | 415 SOIENT 12 gti + à dot Ut Ra k Et'elle rentra dans la maison. ns | fait de n ur trouv itan- MT UT dut on ane class elle entra das la salle à mame | 1! y avait Das dix minutes que| en montrant, à ln surface, tantôt |{* quotidienne. Celui qui Tançai | © Poussant des cris d'admiration. "| ger et aperçat son mari qui agitait | Lucie était remontée dans sa cham-| leur. dos, tantôt leur ventre. cette idée pensait que les hommes a Les spectateurs, d'abord un peu | ses bras debout sur la table. Elle | bre, quand, en jetant les yeux sur| Dans les temps anciens, Idrsque | auraient plus rien à craindre. TT — surpris, se t'entre eux. | mit ses poings sur ses hanches avec | le jardin, elle vit les garçons se La le fleuve était'infesté de crocodiles, | Seulement: le trigonocéphale. bien

“Splendide!.… Admirable!… Uni- quel...” répétai® toujours le voya- ,geur. “Et dire”qu'il est capable, Messieurs, de faire cela pendant dix minutes sans parler! Quel hom- . me! Quel hoinme!…. Admirable!……. Merveilleux! Splendide.… :

Le patron de l'hôte] finit par haus-

riger vers la maison, soutenant Gus- | les tryonix rendait de fameux servi- tave, blanc comme un linge et-qui--ees aux habitants parce qu'ils dé- marchait péniblement. vorait avec avidité les petits qu'il Çe qui devait arriver, arrivait; la | rencontrait quelques jours après famée du tabac lui donait d'affreu- | leur naissance, Aujourd'hai, ce sont ses nausées et faisait tout tourner | les Egyptiens qui se sont chargés autour de lui. de”faîre disparatre les crocodiles Oubliänt sa menace de-tout à|dans la basse Egypte. l'heure, Lucie descendit précipitami ment, appela Mion à l'aide, et tou-|. tes deux remontèrent péniblement le jeune garçon dans sa chambre.

Lucie le confia alors aux soins

un air furieux: ———— —Ivrognel.. cria-t-elle!... Tu n'as pas honte à ton âge de faire le singe devant la clientèle. Attends un peu! En Et le malheureux aubergiste reçut dans les jambes une douche glacée ë qui le fit sauter au plafond. Il ne ser les épaules: put retepir un effroyable juron: il “pus —Si c'est tout ce que vous savez | avait perdu son pari. 4 faire, murmura-t-il …. Re M. de Léon et son compagnon a- Le En entendant: ces mots, M. de} vec jes dix francs de l’aubergiste pu- Léon, furieux, sauta à terre: rént payer leur chambre et leur

que noctambule et timide, se réfu- gié assez souvent dans les habita-

de ces hôtes dangereux en péné- frant dans sa chambre. De sorte que les habitants sont obligés de faire une guerre acharnée aux rats, aux mangoustes et aux serpents.

Sans ces petits inconvénients, la

vie serait trop douce à la Martini- qué. ; -

ve Le Suürfa route:

= Devinettes

k l } Quelles sont.les lettres les plus.

: —Quoil… Quoil… Qu'est-ce que | souper. Car, en ce temps-là. de Mion pour le mettre au lit, tandis | Anciennes? = Les lettres a,g L'Eau J'ai gr po dc + |. vess aient. Je voudrais bien vous H y a bien, bien, bien longiemps. qu'elle allait à la cuisine pour lil Le plus légères?-—Les lettres 1, é: | —Oui.... mais ceux-là, ils ne sont A SO qe À e.- JA RO Me. chauffer--dles- Hnges .el.lui- préps pere de Eannbsco-pmes ui se ; R ‘ nn —— ——= , ; du thé. D dép à Les + és à PT er ET y : s 6 - --—! e_ i D'après A.: de BOVET. lettres f, a, c. : Maurice (3 ans) voit sa tante boi- , | A : | Histoire d'u on. Quantin, éd.) Les moins spirituelles? — Les let- | ter et en demande la cause, e premier Cigare (Histoire d'un garç Q tres: 6 Ù € . rs —Parce qüé j'ai une ampote au . r p | . | TT ere : | : talon,-répond sa tante. | - - Voici une aventure de Gustave En effet, dans le jardin, deux ou La bête à cigarettes es es bus laborieuses? — Les let- gr M où Apr Carbonnel. Ses parents, invités l'trois. douzaines de lapins fuyaient 108, latoi Aer ; e7.. Alors ta à un mariage, le laissent pour dans tous les sens, poursuivis par Cet insecte, ainsi nommé’ pärce Qu'on ne voit que par morceaux? | * 7 ON SPP SES - * _ quelques jours à la garde de la bande folle, qui tirandissait les | qu'il a une prédilection pour le ta-| __ Les lettres ke. : : | 1 sa soeur, Lucie, et de la vieille | armes arrachées à une panoplie de | bac et qu'il détruit les cigarettes, se Ro . | Combles bonne Mion. Afin de distraire | M. Carbonnel, en poussant dés cris! nourrit aussi de bien d'autres! Les plus impies? —— Les lettres |: ARE RE ; à son frère, Lucie invite des cà- dignes d’une horde de sauvages. | substances, comme les graines, les | a, t. à = - marades de ce dernier à passer —Dh! les gueux, gémissait Mion.... | drogues sèches, les gâteaux ile levu-

lion pour un poète? — Se tirer les

Les plus rémuanñtes? — Les let- vers du. nek:

re et les substances végétales em- tres a, Lt

ployées dans le rembourrage des næubles. 11 existe un moven de le détruire: c'est d'exposer les maté- fiaux attaqués à une basse tempéra- ture pendant un laps de temps re“ lativement court. : A 36 re F- une exposition de 16 jours détrui La à 11

toutes les. phenes. de l'ineccte: À 25 Les plus hautes? | Les lettres 1, v. degrés, il a fallu sept jours pour ob- Qui préchent l'action? — Les let-

Ellé ne tarde guère. à s'en re- —Servir le goûter, répondit Lu- pentir!l cie... Ça les rendra tranquilles pen-

‘ ; É dant un moment.

Le commencement de la journée Mais mes lapins... du jeudi se passa assez bien. Gusta-! "es tte rentrent ve .ne quitta les jupons de Mion es :

Û re L spas *| —Je vais essayer, dit Lucie. affairée à sa pâtisserie. Dans ces! Ej}. descedit au jardin et se mii moments-là, -il. était toujours au; agiter un mouchoir blanc de par- mieux avec elle, goûtant par-ci, gri- lémettairé. gnotant par-là, prélevant ]n dime de

Quel_est 1e comble de l'habileté pour un médecin? — Rendre l'oùie à une lanterne, sourde,

Les plus soumises? — Les let- tres, 0, b, i, €. Qui est-ce Re os M Ke Me jo RE Pl comble de l'art pour said un rémouleur? — Aiguiser l'appétit des gens. L

Quiel est: le comble de la versifica- Les garçons s’arrêtè- |

Quel est.le comble de la tendres-

chez elle l'après-midi du jeudi. | Qu'est-ce que nous allons faire? t

7 À F t. tr 14, €. sé? — Embrasser l'horizon. toutes choses. Îl!ne rougissait pas, den failes-vous là? leur demaii- tonir_le même résulte Re a —————- : nr malgré son âge, de lécher le fond da-t-elle À : OR Adaptation des plus LEnt la ”w|! Le dérnier des Mohi e

—Si Ç'a le sens commun, lui disait onet la chasse aux lapins, | e er es. cans we Mion, qu'un garçon qui apprend le Vous n'y entendez rien Les | : 55. her: i 3 é latin soit. toujours fourré à la Cui-! lipins sc chassent en battue... Vou- |, T4 1 “4

a sine. Vous mériteriez-qu'on vous | js vous que-je sois-votre_piqueur |. __ _ _Ÿ, :-° : RS | attache, révérence parler, un tor- en chef et je vous montrerai cétn- | L-2: æ LAS, Re EE = rasta chon ousque vous savez... R ment on s'yrprend? Prmfte

Mais, quand sa .goumandise ‘était | _oyi.. Oui. Le à ER a M en jeu, Gustave n'avait plus aucun |. —Eh bien! d'abord, je vous or- | ae mots ec dignité de son âge et de | jonne d'atier remettre les armes où 2e > : vous les avez prises. Des. rabat- >" — sh |

L Il déjeuna assez gentiment avec [teurs ne doivent pas être armés... F0 Cd sa soeur, et l’on fit le programme | Male: pour tuer les lnnie Où! nr Vu T

des divertissements de la journée, | L po pen...

= : : _fles tuer pour la frime… . programme qui aurait été raisonna | IF es pes Ru ; ble, appliqué avec sagesse et’ mesu- blent de t nt = is d re; Mais demander-de la sagesse et [Plant de tuer des. lapins, mais e!

; {les rassembler pour les faire entrer | . Er + .." EU de la mesure à cette troupe de che- | : du ! ; = vaüx échappés, sur qui ne pesait | dans leur cabanes. C'est bien plus | \ { d'autre autorité que celle d'une jeu- maux 7 aie in dis Ë D pe 2 ne fille de seize ans, eût été de-| : 291, non, dit Gustave, Et Ga

—Si, si, firent tous les autres. La rajorité l'emporta. Ils ahè- | rent raccrocher tant bien que mal |

mander plus que l'impossible. En moins de rien, la maison fut Dee Serie jerdie por sa carabine, qui son pistolet, | © deg-du haut et du bas des escaliers, | <®ui-ci son-afc de. sauvage, De | avec des térapêtes de portes cla- | à son sabre japonais. Lucie les 3 quées; des ouragans de chaises tra. | 02 de bâtons--puis les fit mettre en ligne au fond du jardin, et, à:

Une volée de balles siffla aux oreilles des voya-

qui entendirent une seconde fois comman-

le feu. Le chasseur ordonna à ses compaznons

de faire feu à leur touf afin de forcer les soldats

français à äller chercher du secours ce qui leu: e: mettrait” de fuir, j

——

e Bientôt, toute la gent Japine ent | réintégré son domicile. Lucie avait | montré, dans celte affaire, le génie | des grands capitaines! SA 4 A qe on se mit à tablé et on cipita ef- fête aux gâteaux de Mion, arro- pren: bé sès, pr prudence, de simple limo-!

HE ff

gardée, _ . -

dos de la colline, sont si petites, si

tions, et on n'aime pas trouver un.

Citre tactique n'ert pas le résuitat désiré, Le témbour donna au loin le signal d'un branie-bas ægéréral — Nous àällons attirer sur nous l'armée entière. s'écria Heywa.d. Sauvons-nous s'il en est enccre temps. Cependant ils avaisnt cnangé de pe- iton et ne £e rtconnais-aient plus.

l'heure, sa maman le prendra par la main et le conduira ‘à l’école du !

village. Car Bébé ne sait ‘rien, du | Eee elle, sérénité, cb | moins rien de ce qu'on apprend à |: = E P- l'école. Il.ne connait pi A ni B,|'9: deux fois. A ls troisième,

qu'a-Uelle va?

mais il “souffle” la graine de pis- | on béret rouge rapprochés dans là

senlit mieux que la dame du dic- |

tionnaite Larousse, et si vous avan- |! : 1 24 one L

cez que la-bête à Bon Dieu est 0 de GR trépigue re avec des taches rou il vous | éQa 3e ; Made ti dira que vous ne l'avez pas bien re- . Fo De L ÿ

Et Maman a pris Bébé par la!

de grosses mouches qui ropronnent : À p de petits moteurs, et de hau- “qui-se batancent | QI

petites, qu'on dirait des puces sur ! un édredon vert et la chanson de Jeurs sonnailles est si lointaine qu'elle paraît sortir des clochett roses des’ digitales. RE CRC

H sent si bon, le petit. chemin, que Bébé oublie qu'on le mêne à l'école, Une moucheL.: Une fleur! “Bébé, mon trésor, qu'aimés-tu mieux, les grosses mouches ou les petites fleurs?” — “J'aime mieux les fleurs, parce qu'elles m'atten- dént”. d

Et Bébé repart sur la piste d'une | Tu as été bien sage? —— Oui: Pour- châtaigne mûre qui éclate avec un | tant a un secrel, un gros bruit de capsule et roule, telle une} cret très lourd qu'il est pressé petite folle en laissant derrière elle | révéler. — Maman, tu ne Ce a

ne volée de’ neaux s'échappe de la cage ouverte. Vous pouvez penser que maman n'est pas en retard Bébé

sort de chez le dentiste sans qu'on loi aît fait mal.

son écrin vidé nas LE ? — Tu Re à ce À

eureusemént, i in | la terre est ronde. Malh le ar à ne LS réduit. Mais ma me pas la grand'route: elle est trop | « ant à large.et trop bien peignée, et on ne |!" sais, qu'elle est peut pas y courir parce qu'il faut | "Urñe: c'est le mons loute la place à ces grosses bêtes ! 11.

ronde; et elle ieur qui

méchantes qui .écrasent: - tits + 20. 9: € * enfants.” as dunes ag Et le soir, dans son dodo, un pen Un toit gris, un toir rouge. Un | (*Cité, un peu grisé, Bébé parle "à autre toit gris; beaucoup de toits! M. de cette journée mémorable: rouges... et le clocher pointu com: | ! puis, à l'école, on m'appelle Jac-

lé ‘un sucre d'orge longtemps su- | ques Le monsieur dit que ke sais

cé un grand garçon” Enfin Îés yeux

Cette fois, Bébé a repris la main | (lignotent. — Bonsoir,

de maman. Ke | Maman s'est. pasthls guur ser son grand garçon. Elle fs”,

s . . Ha bier fallu la quitter cette : “Bonseir. m0 main si fine si douce... Un mon-| ja {on dirait que sés Tévres frem- sieur a donné la sienne, une patle | hjent un peu): “Adieu, Bébé” large, et qui serre, et qui pique!| pen nr vus Arsenal

S'il croit que. Ça fait la même cho- De la théorie à :s pritique

ni: : { -

Bébé marche bravement sans se} —Tu as eu de bonnes notes en retourner, et, même, héroïque, il! classe, aujourd'hui, Louisette? sourit. Seulement, il a, au coin de |

l'oeil (on ne peut pas savoir, n'est- | en grammaire ét sais été première.

Oeilde-Faucon se baissa pour examiner la trace des boulets. “C'est le fort. s'écriat-il, pris de dé- : lire, ét nous courons comme des fous nous jet dans les bras des sauvages!” Ils dé direction et arrivérent bientôt au pied du: fer Wideo Henry, RES

Rouge! bleu! Maman n a beau faire. . main. Dans te chemin creux, il y à | un à 2e SES D

dernier avec l'air de quelqu'un qui

: —Tu n'as pas pleuré? —— Non —

—Oh! oui, maman, on-a composé ,

DR 70 Er

| 1 | quelles 07° venait se livrer. ‘ Le goûter fini, Lucie insinua aux A de ce} #imis de son frère que. le moment A - était peut-être. venu de rentrer cha- ! : ‘ PAT cun-ches soi. Mai$ Gustave. deman- . ., Les voyageurs entendirent en aïrière une vorx Au même instent là voix de Cora s'éleva : “Père: —Arrêtezt cria-t-iL Ce elles! Ce sont mes ; & . quelques instants de ré- lorte qui disait : “Point de quartier’ Qu'on les 4- Père! ne tirez pas— Ne tuez pas vos deux filles filles! Le ciel mé les Qu'on ouvre ka po- ‘ Ph encore D 2 fort de baie!" En avant d'eux, une voix ‘plus préche 0r- Ce sont elles qui arrivent! Venez à leur secours” terne! Une sortie. Qu'on me suive! Qu'on ouvre la . nie D Ford dézna : *A vos posles! Qu'on balaye je giacis!" Au même instant la même voix qui avait résonné poterne"” Les gonds rouillés grincérent et ies +0y- cune qu'an se -borne “tail clair que les voyageurs élaient poursuivis et en avant d'eux ordonna aux sidats de William- ageurs virent, approcher deux rangées de soidsts se promener dans les allées. : Lui qu'ils :iquetent la mot "cm Henry de cesser le feu, en s rouges. “TA de. i = à i Ve ! Lis M4 ca ei à s ce 2 - + + Thor | DE FRS » . 4 f À æ in ” - F ; 54 rires # à “ . L . s; L Pa ef mn .

RE RO dE

[- Récemment, par un jour écrasant , La bonne humeur, l'empressement à | Jde veille d'orage, j'ai eu la bonne | rendre : service, l'esprit d'entraide ; ‘ fortane de, saluer au passage un survivent dans nos campagnes les : s éronbr de Bezucerons en corvée. 11 bg 72 préservées. dé | Sa = ‘+ avait Jongtemps que pareille chan- éjouissons-nous devant cette per- Donne mg QE EU de ce ne s'était offerte pour moi de re- | manence des plus riches vertus de pm sed. veile-Zélan ns | premire contact avec’le bon peuple | l'âme , anadienne-frangnins. due ‘ nn. : gi 22 A 4 Mrique SEA 4-rural, joyeui et empressé à rendre | aux . Champs que se conserve D RSR DE nr nn Te ‘Ge 2 AS IL OU que M le PQ RS À comstiter même unc telle saméliors- | suitiine d'écresde-à réven-!. Ts étaient là une vingtaine en fort, qui à assuré la survivance qua: ; [tant 35 coût di a pi total rain d'élever une grange. Tous de | si miracüleuse de nôtre civilisation | du ds été abinés par l'éro-! Es lurons que la joie de travail- française et catholique en terre d'A: : i Si Pays, dut se se À d'énvi- ler coude à coude rendait Heureux. mérique. ; 3 Pere ses s du sol de surface. | ls S’anitcaient les uns les gutres| Méme si les ruraux n'avaient pas v à LS 600 ide où ile. FE ni « ni a été la cause de la! PAr des interpellations pitioresques d'autres titres à. notre vénération, | velle-Zélanile: et La production an- destruction. pratique, pour toutes |‘! {2 besogne allait bpn train: “Gé- |-cela devrait suffire à leür attirer :

F8 nr |

teur] î HT

une perte & 18 à 5 pour | ur une crande échelle pour La dis-! cent de la matière organique, cau- s e

plantes. ? peut auement étre convertie en nn EE nn Se

nécessaires lent contiennent une Qquenité 2 ie ef comeervèr sa pureté. Les.| preciahle de La substance anotée, qui | :

ééon, allonge-nous un madrier .. ” |

fins agricoles, de, PEN Larcioae: — “—Joseph, sors tes griffes et grimpe | accrocher Ça en haut...” |

prévisions pour une récolle de grai- |

Notre présence ne réussit, mème | pas à ralentir le travail. Il y avait | | apparence de mauvais témps et on! : votlait poser le bouquet avant l’o-

l'adwiration. respectueuse de tous.

Pas”une admiration accordée com- me un aumône, pour des considéra- |

tions sentimentales, mais. l’admira- lion profonde, sincère et spontanée, que l’on accorde à la vraie grandeur humaine. £ 6

x rage! Au retour, le soir, en pleine r Her arr = RU ECL "et l'on MER ses 2 5 st = =, on coran! ; » se à 4 i =. M —— “Ranbire 8 vres pour il tomberail. Le sang lui sort | d'air; je l'ai saignée à la queue. On! . _ tas t »« Les bociètées sol agissent sur formerait suffisamment de mitraies la distrileti 18 non 1 . ! Dh Er : - symbole 3 + l'ancte et les Date fertili- poer alimenter La plante en cet élé-| Qu ed ete anis EE on SE Pepe ag pure veuf uns D victoire es travailleurs. La vente du . Somts-dé ls matière crasmique et les : ment. —— — lnèfle rénige--reuplscere l'espèce | minutes de repos nanas à soda à pâte, la moutarde. Pa | Les corvées deviennent de plus! D meme e —— ge = dé commune grande étendue | normal. Que dois-je: faire? Le ‘succès. . ten plus rares. Même en campagne, ill OTTAWA — Des officiels des mi- d Fe °F ne 4 1 «x . cheval st Une autre vache a enflé des pat- ! faut F d'ordinair. 1 . nistér 1 l'Agri Itu de Wash- ! , “| de territoire. Le service de produc-| . N'empleyez ce ad Pig di ière. Je la frictionne a-| 2%! Payer d'ordinaire open | s ères de culture de de meilleure qualité sur marché lion des plantes du Ministère fédé- | des travaux Ne le faîtes pas save mis Da nn ne! “‘ut faire exécuter une besogne. Et | ington et dela capitale du Canada : + ral de lagri publiera plus! boire avant qu'il prenne de l'exer-; "°C un —— nt 11es ouvriers à gage ont des heures | ont commencé l'étude des problé- . ï k 6 ù . [tard duns la saison des renseigne, | cice. Servez un aliment PT lg | eg un see en PP Hixés, bien réglées, hors desquelles | mes Meg de Lg 1 vec we + = ; . On-récommmande sux cultivateurs | de poids plus économique que l'a- | ss plus détaillés sur la quantité | <t des fourrages humectés eau. pe = = “ à ü n'est pas toujours facile de les | marchés du mon e la récolte 5 de soin à la vente un sur a bomme herbe. Tous les) e cett ai e Donnez ute cuillerée à thé de l-| € sent sympièmes lenir à l'ouvrage. blé des deux grands pays. Les Etats- d'apporter plus soin à la eme e craine dont on dispose. Â à Poor ladie de coeur on de rognons. Il est | 7 SO gi PÉTER rangs toc 180.006 806 . * à ceîte saison de Van- cultivateurs peuvent sugmenter La —— 0 D © — queur arsenicale : chaque |” an |. La raternité aimable et em-} Unis auront à exporter ,006 . Ses spneaus à rage dc —— | ; : : Sa inutile et même dangereux en ME. Mio t 10: x boisseaux de blé et le Canada née. Les prix dés bons agnesux ont! valeur de leurs agmeaux en surveit- . L jour durant deux semaines. con-| + * D ressée d'autrefois n'est pas morte | de boisseaux de blé et le en. ‘été très satidlaisants jusque vers le: lant mieux Les ponts ed en les mxct-| Le traitement des oeufs par! äition s'en trouvera améliorée mais | reil or gr 7 Lens rot complètement. Et c'est une des ri-| aura 200,000,000, ce qui constitue un ‘ SR n q ge ; cahi tant sur Le marché au bon moment |. des moven améliorés jamais votre bête ne pourra faire! Donnez ji Glen chesses précieuses de l’âme ruraie | problème de grande envergure. .ÿ ‘v<. fef soût, puis bezacoup de at } yens » ‘ber dans son eau comme laxatif. | ” à PS . teurs, tentés sans doute par les prix Re —— de travail dur car c'est un «as chre- Daves-lt éohate Le d'acs : ©" @ hs dernière semaine de juillet, on | Consommation de | Pes moyens nouvesux et amério-| "tee de seufnie. ltate de potasse jour pen- D'OU OBTIENT-ON L’ALUMINIUM? » DR En ages produits laitiers les tres ee can eee J'ai une vache bien grasse véléc | dant une semaine. = 2 3 . auraient CORRENVES ST pèt=- SHARE qu conservent en même lemps le 24 décembre. Son laït aujourd'hui, | . A l'autre vache, servez méme "s + ras prodonl 2 moins un mois et En 1997 il s'esi consimmi 2ù Ca-| Tuafité, Ont été mis en ocusre à | enès. queiques Wuures, à 17 même | qmmndté de vel Glauber ct Fu os RE ee: . dans uen des cas pendant deux | muda 67596 livres de beurre, | lruro, NE Au commencement de | odeur que le lait d'une vache frai- quez des cataplasmes chauds sur Sujet nmtéressant sur un métal connu, tiré des filières du - mois Cette abondance d'agneauxs de! L te: Ler-choittee ii enèe la beurrerie de B SH | chement - vélée. La crème est jaupe. les pattes. + | épartement-de-Recherches-de la Cie i pauvre qualité 2 provoque ne + réprésente une auementstinn totale dE téfle VIDE 2. Î Voici un cas en dehors de Ford. 2 "2" " RS er or se hmisse de prix sur tous les rmar- de 7 SeS livres ser le chiffre de | d'oeufs qui comprend plusieurs nou-| at La s'ast-Sulré + | Quel remède donner à une vache | , pe chés. Depuis lors, La situation s'est 27 n + ln como | eaux dispositifs dens la chambre | sf. | ayant les trayons pleins de ver- L'aluminium occupe la troisième place dans l'échelle des “ . 4 mais si les pro- K906 et de 4 livre pour la conso |: ; Cite Peso à | parente. S'il se trouvait de la xa- rues? : lntes” de ls hier Sidi : tité 1 ver duricars con à offrir ea ven nr" Ro année la traction. modeste. est pourvue d'un | per 3 E sgpudrde <en : ee ‘ Pratiquez des applicatisns fré- ï mers : CH nt ne l'on tronve-pe-phur gras C : 3® Ê Ent Te ec 3 con- VE M > 1 : 1 . ” * * KE, à te des agneaux de pouvre quohte, le. er m de fromage 2 été éva- | “Vstème de ventilation qui permet | es ïl faudrait fire bouillir le lait Quentes d'huile de casto-. Si vous présence dans les couches terrestres doubje e celle est à craindre que les prix me re- luée à FLST SE livres. en diminn- € Changer l'air à fréqents intet-| ant de employer comme nourri- M€ notez bas de chan: ment. enle- y cal Cependant .on ne le trouve pas à l’état métallique, tombent encore. ; iop de Hé de livres sur La "alles Le conduit de ventilation est ture. Appliquez des cataplasmes "°2 les verrues avec des cisea ent en. composition avec d'autres substances p s : me 4 & : © Ê ru : « À En règle générale, les agmseux des: xmtité Sülée en 10 “Sur une Construit flans le plafond et Un | bands sur le pis. deux ou trois à la foi. Il faudra fai- = Y reves ‘éumestiqu ans ne base per de. le cons tion à | Eramd éventail, actionné par un mo-| | re suivre par une cauférisation. Plusieurs rocs et presque toutes; _ N PR sont prèts pour le marche ‘qu'aux té & 253 Hurec ee 1907 et de 3265 | teur électrique, est installé directe. J'ai üne vache qui a enflé en une , —(Le Bulletin des Agriculteurs): les t glaises contiennent de l’a- | €t finalement disparait dans l'air en. poids de 9% livres à 108 livres pre en 19% SC . ment au-dessous du banc de inirage. | — + _ — RE = ; leminiun Là cependant, l'alumi- | Un gaz de carbone dioxide, à 0 eves qe mc. Av. l consommation dés produits! LES oeufs destinés à la vente aux | Coin de la ménagèrd Echopine-de prunes énôyautées |! mium &e rencontre sous une forme Deux propriétés importantes és vemire. il tapas. mme More e Listes ds Lait entier : atteint | détaillants dans la ville de Lors RE 3 piments rouges | smpure de sel d'aluminium, composé de l'aluminium les peser sur une bascute . Ce détail ni fotei à. TRTSAMIS livres em jar. | sont emlallés dars un carton et mis 5 tasses de sutre qui ne se prèlé pas économiquement | jus j : PR garant 2 RS à 1 10046 li-;, dans un conipartiment spécial pour- 2 bâtons de cannelle à la production du métal. Actuelle- | 1.-—Légèreté Chenre actimele pour évier La vente) ends que tx comséémmation : VE de movens de réfrigération, avec , | Fé: à soupe de clous de girofle — !sment, presque tout l'aluminium pro-| ‘j4 jéséreté est la propriété la des ngnesux de poids inférieurs. . par tête püssait de 5350 livres en. 9%s ravons bâtis. La température _est | F Loc. à soupe de sauce mélangée ; duit vient d’une glaise dure appelée | plus importante de l'aléminium.: A 1 y a une boane demande d2- 1306 3.663 livres ep-1907. marntenue 3 3% desrès . Fahrenheit. | | 2c.à soupe de sel “Baunite”. Des dépôts considérables volume égal son poids est un tiers gnesux aux parcs, aux. salaisoms et Le comsommutién des sous-pro- | " | | 1 pinte de vi sont irouvés-du sud de la France, à | de celui du cuivre, un peu plus de sur les marchés des villes Crtte wits com DES du laït s'est montée Faïtes bouillir pendant 3 heures. ia Nouvelle-Guinée, aux Etats-Unis celui du fer. * viande est spécialement recherciwe ; 5-1 x livres em 1007. en anc- Valeur des fourrures brutes | - - RATS Bon pour 7 bocaux d'une chopine. (Arkensas) et aille urs. + La ménagère sait apprécier 14'16- par Les familles, Îrs centres touristi on de 14 did livres ser : : | Autres mets ‘ > ans le bauxite, l'altmini xis-| #éreté des ustensiles d'aluminium. ques, les hôlels: et les restaurants po part qu'à 276 livres la con- Pendant la saison de 1936-37 (2! La récôlle, de pécires est abondan- | --Cemterre de pêches te gs sol . tex ipereraureoh-er Cette qualité est d'une importance pourve, bien entendu. qu'elle 2ppar- éuntion pur téte était de 14 H- ex Hainaut le 39 juin 1937), la ! te cette année, les recettes suivantes | d «te rontaieugs dé ps r ‘du éülice et autres | Capitale dans beaucoup d'autres usa- tienne à la catégorie "de cho re ples forte qu'en 19% 3.) Pres ei poele la mise en — ces | . : … sur coupées en dés ne . Pour cfenir du bauxite! 8es de ce métal De nos-fours en pont nimess ‘à pont. eo = nee. etat : ; [ets pourront remdre sérire aux | | dan 5 tes .un-métal pur d'aluminium, les ma-| s'en sert pour les alliages légers c'est dire bien engraissés. es Pain convelé #16666375 contre $15,461883 La sai- | ménagères. L d'amandes blanchies hachées tières lmperos doivent duboré dre | das :îe contesté des siveplèses, agneaux Kgrers, no à point. me pro- ess + son précédente. (Ces totaux com- | e . fin __- = ire | ee x = nltes dou être dé- | des omnibus, . des canots-automiobi- düisent pas la sorte de vide re- On mande de Faïirhamks Alscka prennent Là valeur des animaux à! . Marmelade de pêches 21-de cantaloups coupés en dés _ù tt Le su East Fe “ner cherchée par les tourisips où 1 mé- qu'il se fait sujourd'hei ue emploi fourrure pris par les trappeurs et] 18 pèches [ Z'oranges, jas et écorce. . [828 de l'oxygène, Le plus rouisonlle de die cts. —_— séère, Les pauvye< agneaux se) pratique de pain cosské, Ee pain lei peaux vepdues par Jes fermes à | ge —— À} Mélangez tous: les ingrédi enis a] Le raffinage de l'aluminium pré-| ot je ine”-qüi-uait- la sont mal fus par le fran sorti du four est congelé à 2% fourrure. La valeur de ces dernières | 2 oranges faites Caire jusqu'à ce que le mé-| sente plusieurs difficultés, en effet, | légéreté et ie lisuite tension af hier que. par le degrés F. pis expédié par irain-ou ‘ représente environ 40 pour cent de | Eau | d lange soil epiis et clair. Versez il est impossible de traiter écono- | Comsx pâturages sont) qur séroplane aux distributeurs de lemsemble. Le total pendant la säi- | onrorge vb cn 08 les pêches. dans des verres stérilisés. Lorsg®e | niquement le! inétal une fois pro-|2—Résistance aux Corrosifs < Lt: à le 2 * "nm « q 5 ; t les pépins oranges ‘ele tout est refroidi, couvrez avec duit. On doit employer beaucoup de! - re Nu + excellents Cetle 2Mee dans tout le: détail qu le comservent dans un son de F936-37 est k plus élevé que vez en ; . | ou n eus. P "17 La résistance de l'aluminium aux - ' ram tat conti jusqu'à & 1 _ EL AresIstré de les par un hachoir. Ecrasez,: 4e la cire de paraffine chaude. vin ‘au cours de la production afin! ‘“*" : , Consdy'et il n'y 2 pas d'animaux de état congelé jusqu'a &é que le cut" l'on air enregistré depui La saison | Passez soin ‘au cours. de la pi corrosifs est presque aussi impor- : L 5 ; PEN g : ensemble ‘ 2 2D+-2—— éioire ; ï $ férypé qui fasse une suementation. socrmatcur le demande. de 1! 2. FE Û tes tout semble, pesez et mettez mA | d'éliminer ‘toute inpureté dans le tante que sa légéreté, Bien que l'aci- dd race 1m _ - = - - q —— | unp-quantilé égale de sucre. Fai- La SLA accordée au "minerai. Î lori juti d ; : : 7 , Îtes cuire les fruits jusqu'à ce qu'ils préférence | = RES L de hydroch orique, les solutions de LE FEU ENDOMMAGE UN PMQUEBOT ALLEMAND [nbsnt tbôret. Goes © tn Ste, blé canadien doit être . |, Une fois l'élimination faite du fer, | se] ét l'eau alcalisée-corrodent l'ali- * 40 . . mi —— neue | puis ajoutez le sucre chauffé et fai- maintenue + fa silice €à du reste par un procédé | minium, il fésiste comme le verre à é . - » ñ x D.” 6 à tes bouillir rapid DE 1 n <e — chimique, l'oxyde d'aluminium PUT | beaucoüp de substances chimiques. é # "RE s !que ça soit épais. Versez dans des! . Les personnes intéressées ont ac- | (2lumine) e: dau split: vs | 1 est constamment employé alors bocaux chauds .et stérilisés. Refroi-, cueilli d= façon diverse, à Winni- | "225f07mé en -aiuminium Phoque + | dans l'industrie des produits atimen- me > 4 : - id sa Î . % > ation a lie 1 2 ù ,= e tes | dissez, bouchez avec de là cire de eg la rüiseur non confirmée vou: | %- A En _ grues j— as taires, dans Findustrie laitière .et paraffine. et : | ant la préférence accordée au | fournaise électrique: c'est le procé-| dans les usines chimiques de. toute totem rit blé Bout. su Royaume-Uni fasse | € de là réduction. | «spèce. L'alumnium est l'un des mé- | Marmelade de pêches ‘les frais de l'entente commerciale Le poosédé de le sêduction | taux le plus sain et le plus hygiéni- et de cantaloups - 2nslo-sméricaine. ; | ; , ‘| Que qu'on puisse trouver pour les 12 pèches . è , Bredt. président de Ia Mani- | La fournaise électrique employée | ustensiles: domestiques, non: seule- - b 3 oranges # 2e , PR der Le Elevator re dit_qu'il | Pour la réduction” de l'aluminium |ment à cause de s4'résislance aux \ cantsioup. : : _leonvient de maintenir La préféren- }€5t ve, ce Lo 2m Mougins |attaques des matières. chimiques, ! Eplüchez et époyautez les pêches. | zmdis J. M Wesson, prési-! on Elle se compos 1 .TATEC | mais aussi parce que la nourriture > , Epiathez les oranges et énlevez l'é- pad de gg ner mme + Wbeat | orilicé rectangulaire. revêtu, dé cha-}me se contamine pas advenant une + cure du cantaloup. Tranchez les pool w'aitache pas une grande im-fque Côté de briqu , réfractaire | fégère dissolution du métal. Les sels | fruits em fines tranches Pesez et portancé à !s question et observe | #%%*-##-fonds de, carbone servañl : d'aluyprinroni ae portent.aucun poi- à : | ajoutez une quantité égale de sucre. | ne là biférence srcurdée: per le ay Le. Len anodes par des sai, ie apparaissenl même naturel-. # : Fañes bouillif rapidement jusqu'à träité de 1922 ne rapporte guère au ! lots de carbone f 1 € 4,1 linent dans la. nourriture, en par- | Ce que Ça soit fpais. Bouchez et ser- Le derteur canadien qui ne reçoit | con que leur niv qu peut Cire ajusté Leulier dans les légumes. La crainte == mea:-z : détiei té ï s7T re CE que le prix normal : à mesure que le Carbone se COR | entrélengé . cages" der a ra s ï fon, président de l'AL- me. : | l cancer causé par les: ustensiles . Marmelade pêches ei de pommes F am aa pau u blé | La fournaile est remplie un. mé- | d'aluminiem est maintenant rejetée |: Prenez une quantité égale de pe- De Pn-Uol entre librement en tlange d'élumine et: de cryvlithe, Le! el prouvée fausse, Cependant -pius ". mes et de pêches coupées _ RS ET À les esporialions du Ca-!<rsolilhe skin minerai que l'on | d'une ménaggre s'inquiète du fait 1 … ni me Sert vs rad aude s'en trouveraient réduites. {trouve au (Groenland: il peut aussi. que. la cuisson de la rhubarbe ou de [leur, ne. les épluchez ‘pas.* Ajoutez Heary Gauer, président du, Wheat | être. prodait synlhéliquement. ; 11! la tomate dans une.poéle en slumi- : |trèts-quarts snfant de secre que de schange de Vancouver s'oppose’ à | sent à, faciliter lg fusion de l'aly-} nium, lui donne un poli très bril- [fruits Faites cuire le mélange len- | os la préférence ne. soit . pas mines Quand 1e Bbyvotr électrique | Fant, ee ur qu'un fort montant Jirment jsqu'à ce que. çs si cainle 7 . fl à d'ailleurs écrit su lest en marche, une grande chaleur |: du métal s'est dissous dans la nour- 8 ï ue = gaglre premier ministre à ce sujet le 315e dégase du-coufant entre l'anode | riture, alors que réellement les aci- { et -éhom . On peut se. ire dernier. ; et la cs'hode, la fusion du mélange;des contenus--dens a nourriture quaniijes égales de rimbarbe de pé- | ——— 2 mDe-0— | alumine-cryolithe à lieu et en même | n'ont. dissous qu'yne pellicule très + [ches, et de pommes, 5 T7" L'éäteddhe totale coûvéste.-par les | icinps l'alumine se change cù Gxÿ-1 mince d'oxyde d'aluminium formée - A Ù i ä ‘ à ci ; ‘ i “tai site «l'en aluminium. Le métal se | sur lx surface exposée du métal, La . - | Sauce à marinade à cinq fruits |plantätions commerciales de ‘tahac : #1 & dub . SE ro 3 À. pèches jen 18, est évalmée à 84000 acres, | dépose sù fond du four. og le retire! résultat des -analyses-de”la nourri Un ymepmbre Ge l'équipage a été tué et pla vol 5ci Là fumée et les (lummes au plus fort : 6 pommes contre. une évaluation revisée de l'de temps en tétups et on Le met en! tue cuite dans l'aluminium n'a dé tireurs sûres blessés quand un. incendie s'est de Tincendie. 2 Lou 6 poires s.2 |EM066 acres en 1937 et 55,400 açres | lingois, E'uxygéne une fois Mir | moniré qu'une proportion infime de : G 4 ; De. Le room peter «= aého ges | + $ : ’uni les anodes de carbone! métal dissous, : # —." Séciaré à bond de paquebot “Rclame, Un l s 5 | , 2 tumies Free s. >. + . |en 1506, 0 Te | Cm avec —. MACREENS je Pons à À Ü ( < À prit. , d L + k : : $ + Été. @: ? . Ë h x \ H CA at 4 * e A k + Eee pd " Ci æ [ $ * r. + , ag ï } : a È 6 : { fix à : ; CZ ur , AT jee, ( + id . » ur? sang u 0] RTE ue vis Bi gt ten 4, r PE | AE ro d LE LAURE ‘ : à + À. * ; ‘ ï N ‘ : mandat nant RDS

au notaire, Mai- tre Humblot, qui lui-même n

trop ccntent de la tournure que prennent les événements, par rap-

par lui: les bans sont publiés, ce qui veut dire, en France, que le ma-

riage est proche,

.… trouve aisément dans les maisons de

police, informe-toi des derniers mois passés bar Viviane Willamson en Amérique. Pour aider à tes re- cherches, je puis te donner comme indication, le dernier pensionnat où notre cousine a professé. C'est une maison appelée: Ivy-College, dirigée par. Mrs, Knapp, à Edwardstown, près de Pottsville, Etat de Pensyl-

:. vanie. ;

Vivisne était liée d'amitié avec Suzy Knapp et par elle on peut a- voir, en s’y prenant adroitement, de

- précieux renseignements. Ne perds

pas. de temps, mon cher garçon, pour l'occuper de cette affaire. Elle me semble sérieuse et pourrait mê- me avoir des conséquences graves, si-mes doutes ne sont pas des ima- #inations,

Je. te serre affectueusement les mains et l'assüre de ma fraternelle amitié. e Robert de KERGALL.

. Cette lettre’ fut remise à Harry |

de Kergall, au milieu de son volu- mineux courrier d’affaires, dans son cabinet de San Francisco. Ayant fait un tri rapide parmi les papiers qui lui étaient présentés, il en tendit le plus grand nombre à son secrétaire particulier, mais, re- connaissant l'écriture de Robert, il

‘ prit la missive avec un sourire. et se

rendit, pour la lire, sur la térrasse

“ attenante à son cabinet.

De là, il 4ominait d'assez haut le mouvement de la rue; les cornes et

Jes-kia> ons des autos se mélaient !

pour lui au piétinement des pas- sants, aux cris des marchands de journaux, au bruit régulier du pas- sage des trains souterrains et des tramways aériens. Cela faisait un fond de tumulte qu'il n'entendait plus et qui ne le gènait nullement.

Harry de Kergall, tout au contrai- re de son frère, avait pris dans son ascendance tout ce qui pouvait fai- re de lui le véritable Américain. Il était, dans cette situation de busi- nessman, com! un poisson dans l'eau. 11 aimait l'argent, mais plus encore lé travail; la vie fébrile du

___grand brasseur d'affaires répondait | chercherai dans mes souvenirs

à tous les désirs de son esprit. Une grande affection, un peu pro-

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Fr?

fhousiasme pour cette cousine ridionale! .., 1] n’est pas amoureux ! de sa “Vierge italienne!” non,

n entendu!.. Allons, a mon vieux camarade, chacun est aveu-| | de dans son propre cas! ...

heurcuse -chose ... Oh!.,. quelle | est cette histaire de Viviane Willam- son?... Voilà quelque chose de plus Sérieux, il me semble... Robert n'est pas un sot ‘et ses remarques sont dignes d'être prises en oonsi- dération...” , ‘ ;

Harry réfléchit une seconde, puis, allant à son téléphone, il demanda le numéro d'une maison de police

privée. | | : “Envoyez-moi tout de suite un {bon détective, honnête et ‘sérieux, | demanda-t-il, pour une enquête par- | ticulière dans un milieu bourgeois .. Tout de suite, n'est-ce pas?... Je

suis pressé...”

Le grand directeur de la Compa- | gnie “Pacific Navigation” n'eut pas {à attendre lorigiemps. Une demi- theure plus tard se présentait à son | bureau ur homme jeune encore, à la | figure ronde et à l’air paisible, qui | se déclarait envoyé par la “Maison | Securitas”, agence de police privée, | “Je m'appelle Peter Smith, décla: | ra le détective, Voici une lettre du | directeur qui m'accrédile auprès de

vous”,

Le directeur disait grand bien de | son employé. Tout en lisant la mis- | sive qui lui avait été remise, Harry regardait en dessous le détective | qui semblait n'avoir cüre de. cet examen. ; |

“Vous me plaisez, déclara enfin

Cela, non plus, ne montrait pas un degré rare d'invention; mais il pen- sait se servir utilement des rapports amicaux "il s'attribuerait avec Harry de Kergall. QE j Tel qu'il était, ce visiteur ne-sem-

ap l'avoir fait attendre, juste as- sez pour lui donner une haute idée d'elle-même, pénétra: avec son sou- rire le plus charmant dans le petit

“Son premier regard lui montra que la description de. la petite ser- vante se trouvait exacte, quant à ‘Fensemble du voyageur. Sa percep- tion personnelle Jui fit découvrir que ce futur père d'élève: avait un àir paisible et quelque peu naïf qui ne lui déplut pas. :: : :

“Vous désirez, Monsieur?... de-

me si elle avait été à cent lieues de ce que pouvaient être les souhaits d'Oscar Smith.

—J'ai entendu parler de vôtre ins- titution, Mistréss Knapp, déclara le fondé de pouvoirs avec une gra politesse nuancée de respect. J'ai deux filles de treize et onze ans...

{ne pourraient trouver une meilleure | ( éducation et surtout les soins af- | le jeune homme. Je’ vais vous imet- féctüeux dont ont besoin, plus que {tre au courant de ce dont il s’agit | J'antres, des fillettes sans mère. Let vous enverrai, immédiatement, | —Etes-vous divorcé?. . .: demanda fa-re une première enquête. Je crois la maitresse de pension, d'un ton | qu'il n'y a pas de temps à perdre”. | désapprobateur. Je n’aîme pas énor- |. Harry de Kérgall expos. le cas! mément cela ë | Willamson à Peter Smith, qui l'é-| —Certé non!... s’écria Oscar, | coula avec attention. Le visage du | avec l'air affligé qu'il convenait, Je | détective semblait vidé de toute ex-| suis veuf, Madanié,.. veuf depuis pression, mais par instant, ses petits | deux ans... ; yeux brillaient et ses narines se —Hélas!:.. soupira Mrs. Knapp gonflaient comme: celles d'un chienid'un ton attristé.,. Certes, nulle de chasse, sur la piste du gibier. | part vos chères filles ne pourront “Je pense que c’est à Ivy-College {trouver des soins aussi maternels | que vous allez m'envoyer d’abord, | qu'auprès de moi. J'ai moi-même, déclara-t-il, quand le jeune homme | étant veuve, élévé mes deux enfants cut terminé son exposé. Je trouverai | et je sais combién d'attentions de- là”de prétieux renseignements et mandent ces chers petits êtres... | l'assurance immédiate de l'identité | Vous connaissez le prix de la pen- | de votre cousine .. En même temps, | sion?., je vais prendre des jinformations —Ï1 m'importe peu, Madame. Je accessoires. . Cette description, un | suis riche et gagne largement ma vie peu rudimentaire pourtant, que vous | dans la “Pacific Navigation”. Ce | fait votre frère de cette jeune fille, | que je veux pour mes enfants, c’est | blonde, .très -belle, avec des yeux |une bonne éducation et une solide |noirs, me dit quelque chose. Je | instruction. En particulier, je veux

vous ‘aviserai, dès que j'aurai

une | français. | piste sérieuse”,

Avèz-vous un bon profes- seur? :

» 5 A

L'EXPOSITION DE GLASGOW _

- a

t'place dons = “bump-car”, lorsqu'ils ont visité l'exposition de Glasgow, ces jours derniers.

>| de se mettre en frais d'imagination. Sa carte portait son nom de Smith

Peter en Oscar. Une ligne imprimée lui attribuait le titre de Fondé de pouvoirs à la “Pacific-Navigation”,.

blaspas à négliger et Mrs. Knapp,

Qn.m’a assuré que nulle part, elles”

parloir où le faux Oscar l’attendait. | :

iMmanda ‘la maîtresse de pension, com-

_et | qu'elles poussent très loin l'étude-du-

sans. bruit la fin de Ja conférence

‘quelques - bribes de conversation | moment, de grands dangers. Tout ce ||

‘Ivy-College,

RTE

Qt L

en Europe? - : saurais vous le dire, Mon- sieur, déclara la maîtresse de pen-

l'était figuré d'abord. Cependant

déjà il en savait assez pour désirer |

ef ‘apprendre davantage. Sa bonne ‘étoile lui vint en aide, alors qu'il désespérait de découvrir rien plus dans cette maison. N

Tandis que Mrs. Knapp Jui faisait |

visiter les souches nouvellement

stallées. et que le détective avait l’air de s’y intéresser prodigieuse- ment, la petite bonne de la porte ar- riva, toute courante, et tirant sa maitresse à part, se mit à lui parler vivement et à voix basse.

Peter Smith avait l’ouie prodi- gieusement développée et l'habitude de démêler les pires chuchotements; cette faculté lui avait été bien utile au cours de sa carrière.

Tout en regardant avec un soin excessif le mécanisme de chauffage que Mrs. Knapp venait de lui dési- gner, il perçut une conversation en- tre la servante et la maîtresse. Il était question d'une dame, accom- pagnée de six petites filles, laquelle demandait à voir sur lheure la di- rectrice d’Ivy-College ... Elle n’a- vait pas le temps d'attendre, devant reprendre le train dans une heure.

“J'y vais, déclara la maîtresse de

pension avec décision ... Prévenez Miss Suzy de venir me remplacer auprès de ce monsieur”. ‘ Ce monsieur faisait, avec pruden- ce, jouer les robinets de la douche, et paraissait à cent lieues de toute autre préoccupation. «

“Je suis obligée de vous quitter un itistant, déclara Mrs Knapp, d'un

+on de regret. Ma fille va achever de

vous faire visiter la maison ét le jardin. Elle vous ramènera au par- loir où j'aurai l'avantage de vous rejoindre, pour nous entendre défi- nitivement au sujet de mes futures pensionnaires. Voici Miss -Suzy Knapp, ma fille... Monsieur Oscar Smith, auquel vous voudrez bien a- chever de faire visiter la maison et à qui vous montrerez également le jardin.

—Avez-vous vu les dortoirs, Mon- sieur? déclara Suzy d’une voix dou- ce. Si vous voulez bien venir de ce côté” . :

Le faux père de famille suivit un instant la jeune fille dans les pièces successives, auxquelles des rideaux et des couvre-liis de ealicot don- naient un air de paisible innocence. ‘ Suzy Knapp, tout au contraire de sa mère, paraissait timide et sensi- ble: it-serait plus facile de la faire

-] parler que de desserrer les lèvres

de la prudente directrice de pen- sion. En descendant l'escalier de

rangées sur Qi bañc le tong du hall, une série de petites filles, attendant

de leur mère avec leur. future maf-

tresse, Les têtes blondes et brunes |

bolan- çaient de plus en plus loin du sol. A trâvers la porie du parlair,

pouvaient parvenir aux oreilles exercées :"

“Je puis faire un prix global .. disait la. voix sévère de Knapp ...”

le détective aperçut, |

ll jf

| le détective. Je sais que vous

amie de Viviare Willamson ……. DR nn Nate vous

mon patron et ami. Il est fort inquiet de sa parente, en ce mo- ment, n'en ayant pas eu de nouvel- reçu quelque lettre récente? —La dernière n’est pas ancienne: elle était bien remise de sa fièvre typhoïde et s'apprêtait à s'embar-

pour la France. Fe

à à 3

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et ses papiers... C'est une perte ‘terrible pour elle. Elle a pu trou-

teau français. elle a mis plusieurs

est bien plus grave encore. trouver ce qui fui a été pris.

| = petile pension de famille, |'espérait .…

—Elle a vécu comment?... puis-| qu'on lui avait volé toutes ses éco- nomies”. at

Suzy rougit prodigieusement.

“Elle avait des amis, expliqust elle, qui ont fait pour elle ce qu'ils ont pu. Quand on est dans l'ennui, i faut s'entr'aider, n'est-ce pas? Vous comprenez cela, Monsieur?... Viviane est si fière, elle se serait laissée mourir de faïin, si on ne lui! | avait pas forcé la main... : L “Elle aurait dû avoir recours à | ses cousins de Kergall, 1 |. —Je crois qu’elle ne les conriais- | | sait pas beaucoup . .. El puis, qu'im- |porte?... Le principal. est qu'elle ! [ait pu gagner la France, enfin .... | J'espère qu'elle pourra se faire re-| |eonnaître dé sa famille, malgré la | |perte de ses papiers... Je suis en! | grand souci à son sujet. "1 —Harry de Kergall, son cousin, |

occuper tout de suite, je vous le pro- | mets, Miss Suzy. Les quelques paro- les que vous avez bien voulu me dire au sujet de voire amie lui se-

à tout faire pour venir en aide à Pourriez-vous me Comment est-éllé7. .- de;

utile?,.. demanda la jeu- ne fille un peu

—Très utile, Mademoiselle. Vovia- !

ne Willamson court, ptat-être. en ce !

| que vous me direz d'elle pourra ser- | | vir à la sauver. Vous pouvez parler, | Miss Suzy; je vous jure qu'aucune de

l'eonécient, tant il lui était habituel, | À = ! rappelé les petites filles qui, dociles, |. —Elles ne courent aucun

[= la Bretagne.

qui ési un gros personnage, va s’en F:

tournure?... 4!

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b “J'ai eu l'impression qu'elle m'au- 4 je vous laisserai pas dans l'inquié- raït tué, si elle l'avait pu sans dan-. ? tude ... Mais le plus absolu silence! ser, déclara le notaire, de retour est nécessaire. U chez li. Le $ —Je vous le promets, répondit —Que devienent les demoiselles à da de Kergall dans tout cela?. Les promeneurs s'étaient peu à | da Robert, qui se trogvait à par peu rapprothés de la maison. Suzy,|sard... Est-il prudent de les lai tout en parlant, avait, d'un g-ste tn-!

s'étaient mises à la suivre. | Da reste, depuis quelques jours,

Mrs. Knapp, cuvrant la porte de; homme couche dans l'aile des de- la maison d'un air méconterit, n'eut Lsagen.om es mp le père pas lieu de se fâcher de la dispa- | de le À ges rate D.

ial. + s laprès-midi avec Antoinette à Ker- un ie ee mue Re | #0at. où avec Yvonne, dans la petite ame; ‘vos charmantes enfants se sen! es us et ur tent déjà ici chez elles De prime e . TRS où COR abord, ma fille Suzy à su les appri-' de Mademoiselle. Messiret, faisaient voiser ..” de longues promenades quand le

[étaient facilement aeceplées par * _|leur famille. On n'en parlait pas. (attendant que Îs situstion {üt we |peu déblayée. Du reste, lous deux étaient ten jeunes et Bernerd de- vait, peu de jours plus faire son entrée à l'Ecole de Saiat-Cyr I ne pouvait être question de ms- "riage. Elisaheth, de son côté, ne F it de son désir de vie reli- Sur l'Océan, où aucune barque; ne Pa aussi silendait de voir n'eût osé braver la tempêle, les v4-| ommnent tourneraient les évène- gues monstrueuses se succédaient, | ent se pourchassaient, se lançant à l'as- - Es saut de la côte, se coupaient net sur |

Le vent d'automne se

Depuis un jour entier, une-grande

oule inclinaif ls cime des arbres. comme si elle voulait les briser. L’o- ! rage hurlait dans les branches et! les rochers, unissant sa voix à celle de la mer démontiée.

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